L'histoire :
Comme il est dans une école pour garçons, Ozumi a du mal à se faire aux nombreuses lettres d’amour qu’il reçoit de la part de ses camarades car il n’a pas vraiment envie d’attirer ces messieurs. Après les cours, Ozumi n’a pas envie de rentrer chez lui car il sera obligé de s’entraîner au dojo familial. Il décide donc de trainer un peu en ville. Au bout d’un moment, il souhaite se prendre une boisson dans un distributeur mais il fait tomber toute la monnaie qui était dans sa poche. Il essaye de ramasser les pièces mais l’une d’elles est inatteignable car elle est passée sous la machine. C’est alors qu’arrive un homme qui l’aide à ramasser les pièces et l’invite à boire un verre. L’homme, M. Mishima, est PDG d’une petite entreprise et est très sympathique. Ensemble, ils parlent de voyages et Mishima propose à Ozumi de venir chez lui le lendemain pour voir ses photos. Ozumi accepte sans se douter qu’il va perdre sa virginité dans la nuit qui va suivre...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Entre Le fruit de toutes les convoitises, Me and you... and the naughty et encore d’autres one-shots, Piyoko Chitose nous a déjà fait une bonne démonstration de son travail et ce recueil est du même acabit que les autres : un scénario aussi léger que la vertu des personnages. Vous l’aurez compris, ces petites nouvelles n’ont pas vraiment d’histoire, il s’agit plus de mises en situation avant que deux jeunes hommes ne passent un moment particulièrement chaud et, pour une fois, non censuré. Si les intrigues sont dénuées d’intérêt (voire même parfois ridicules), celles et ceux qui veulent de rincer l’œil en auront par contre pour leur argent car les personnages ne sont pas vraiment prudes (ou alors ne le restent pas longtemps). De fait, les passages torrides sont nombreux et, même si les postions ne sont pas très variées d’un chapitre à l’autre, on a le droit à des cadrages osés et qui n’hésitent pas à nous montrer tout ce qu’il faut. Les personnages sont d’ailleurs assez séduisants mais on regrettera que les épaules de ces messieurs soient parfois disproportionnées, ce qui leur fait une tête toute petite. Néanmoins, cela ne gâchera pas le plaisir de ceux qui veulent mater. Vous voilà prévenus !