L'histoire :
Isaac, le maître de la guilde des chevaliers noirs, propose à Sôjirô de le rejoindre. Ainsi, les deux groupes auraient une chance de survivre puisqu’elles augmenteraient leur puissance d’un coup. Les chevaliers noirs sont très enthousiastes à cette idée car ils n’ont pas de filles dans leurs rangs et cela leur pèse. Hélas, Sôjirô ne voit pas l’intérêt d’une alliance et préfère décliner l’offre. Plus tard, alors qu’il s’entraîne avec les membres de sa guilde, des PK font leur apparition et attaquent des gens faibles. Sôjirô vient leur porter secours mais, une fois l’ennemi parti, se heurte aux reproches des victimes : quand il a démontré qu’on ne pouvait pas mourir dans « Elder Tale », Sôjirô a permis malgré lui que les joueurs laissent leurs pulsions exploser...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Maintenant que les personnages se sont adaptés à leur univers et ont compris qu’ils ne pouvaient pas mourir, certains joueurs deviennent des PK (« players killers »), c’est-à-dire qu’ils ne cherchent qu’à tuer les autres joueurs, sans le moindre remord : trouvant cette méthode infecte, Sôjirô décide de mettre au point un plan pour stopper ceux qui se livrent à des tels crimes. Bien qu’il soit judicieux de donner un but à la brigade, on ne peut pas dire que celui-ci soit passionnant. Le scénario est tellement simple et avec une morale un peu mièvre, que cela ne fait que le rendre encore moins intéressant. De plus, le fan-service est mis en scène de façon risible que cela en devient pitoyable. Alors que ce second volet aurait pu améliorer le niveau, il ne fait qu’enfoncer le scénario : dommage.