L'histoire :
Toutes les unités d’enquête doivent se rassembler, aussi celle de Kôgami est priée d’aller se changer pour être présentable et y assister. Dans les vestiaires, Kôgami tombe sur Ginoza qui lui demande un résumé de ses investigations. L’homme lui explique comment ses différentes affaires l’ont mené avec son équipe sur l’histoire des reins artificiels et la production de blé. Seulement, il reste encore des zones d’ombre et tout cela semble avoir de grosses répercussions sur le monde entier. Ginoza l’écoute attentivement et acquiesce. Il lui transmet alors le nom d’une femme qui pourrait bien être impliquée dans tout cela ainsi que dans d’autres affaires...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Depuis le début, on sait que les investigations de Kôgami vont mener à une histoire de plus grande envergure et assez complexe. Aussi, le résumé en début de volume (grâce à Ginoza qui a besoin d’un briefing) n’est pas négligeable : mieux, il nous rafraichit la mémoire et nous plonge dans une ambiance paranoïaque. En plus, on met un visage et un nom sur la personne qui pourrait être derrière tout cela. On s’attend donc à ce que le récit poursuive dessus et, si c’est effectivement le cas, il ne se passe pas grand-chose. Les personnages passent beaucoup de temps pour ne rien dire, les quelques prises de risque ne sont pas forcément payantes et, au final, on n’est pas beaucoup plus avancé à la fin de ce tome. C’est dommage car il y a du rythme et de bonnes idées, mais celles-ci ne mènent pas là où elles le devraient. On dira qu’il s’agit d’une transition molle en fondant des espoirs pour la suite !