L'histoire :
Tasha, Xing et Tarras arrivent enfin dans une ville et se rendent directement dans une auberge afin de se nourrir. Là-bas, le W.H. confit sa valise à ce qu’il croît être l’une des employés mais celle-ci s’enfuit alors avec le bagage contenant Halloween et Tasha part donc à sa recherche. La voleuse se cache près d’un pont et est déçue en ouvrant la valise car elle ne trouve qu’un pantin et quelques piécettes. Elle regarde alors la marionnette et décide de la maquiller pour la rendre plus jolie mais, à peine a-t-elle terminé que Tasha la surprend. Elle jette alors les quelques pièces et s’enfuit mais le Witch Hunter est toujours là où elle se rend. Abandonnant sa course désespérée, la jeune fille s’apprête à connaître bien pire encore : la colère d’Halloween, qu’elle a maquillé en voulant le rendre plus joli ! En parlant avec Tasha, la demoiselle, qui se nomme Monica, lui confie voir depuis quelques temps des fils sortir des gens : s’ils sont rouges les personnes meurent, s’ils sont noirs tout va bien. Elle trouve aussi que le Witch Hunter est très voyant à cause de son costume. Cela étonne encore plus Tasha…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après un premier tome fort prometteur, la série Witch Hunter confirme ses bonnes impressions en nous proposant un récit qui n’a rien à envier à ses homologues japonais. Cette fois-ci, nous suivons les trois W.H. affrontant une sorcière dont la capacité est de contrôler les autres. Dans leur lutte, ils seront rejoints par un nouveau personnage que l’on devrait retrouver dans la suite des péripéties et qui a la capacité de voir qui sont les pantins de leur ennemi. L’histoire de ce tome est efficace, multipliant les scènes d’action et de combat, le tout saupoudré d’une bonne dose d’humour. Avec une formule suffisamment bien dosée, ce tome s’avère une lecture des plus agréables d’autant plus que les dessins sont soignés et bénéficient d’un charac design intéressant. Si Tasha a un costume faisant irrémédiablement penser à celui d’Allen Walker dans D.Gray-man, il n’en est pas moins charismatique, à l’instar de son supporter : Halloween. Avec un univers prenant forme, un scénario efficace et un visuel réussi, ce second volet n’est plus une surprise mais la confirmation d’une belle promesse !