L'histoire :
La déesse qui habitait les cheveux de la miko noire peut enfin se libérer. Ayant une apparence gigantesque, il s’agit d’Izanami, la déesse de la mort, qui est aussi la mère de Hinogaku. Malheureusement, Izanami ne supporte pas l’air de la surface, elle a besoin de sentir la mort autour d’elle. Elle décide donc d’ouvrir la porte du royaume des morts et de délivrer les mauvais esprits. Tandis que les humains essayent de les repousser, Izanami s’empare de son fils contre sa volonté...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Boss de fin, la déesse de la mort apparaît et se montre d’entrée de jeu hostile et quasiment invincible. Dieux et humains doivent donc faire front commun pour sauver le monde. C’est une bonne idée de mettre une bataille dans ce volume car cela donne un souffle épique et beaucoup de rythme au récit. En revanche, on a le droit à une avalanche de révélations et de nouveaux personnages : cela rajoute de la confusion et répond à des questions qui n’étaient pas posées. On sent bien la volonté d’étoffer les personnages et l’univers de la série, mais cela arrive trop tard et n’a pas de plus-value, cela ne fait que compliquer inutilement les choses et nous perd un peu en route. Trop d’informations tuent l’information, ce huitième coup de peigne ne nous décoiffe pas.