L'histoire :
Negi Springfield, un magicien de 10 ans, vient de recevoir son diplôme. Seulement, l’heure n’est pas encore à la fête car, pour parfaire sa formation, le jeune homme doit effectuer un stage. Quelle n’est pas sa surprise quand il reçoit son affectation : il doit assurer le rôle de professeur dans un collège pour filles au Japon. Pourtant, Negi ne se démonte pas et accepte d’effectuer sa mission. Une fois au Japon, Negi est ravi : les gens se montrent sympathiques et serviables avec lui. Pourtant, lorsqu’il arrive enfin à l’établissement scolaire où il doit enseigner, il se heurte à une jeune fille caractérielle, Asuna, qui va lui donner pas mal de fil à retordre. Malheureusement, il s’avère qu’Asuna fait partie des élèves sous la responsabilité de Negi...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ressortant dans une édition double, Negima nous raconte comment le magicien Negi, seulement âgé de 10 ans, se retrouve à faire un stage en tant que professeur de collège dans le monde normal, et plus particulièrement dans un établissement pour filles. Pour ceux qui ont déjà lu la série lors de la première édition, cette nouvelle version ne présente pas vraiment d’intérêt : en dehors de quelques pages couleurs en introduction, il n’y a absolument aucune nouveauté ni aucun bonus par rapport à avant. Du coup, cette édition est surtout une bonne occasion pour ceux qui n’avait jamais lu la série de la découvrir. Pour l’instant, on fait surtout connaissance avec les personnages, le timide Negi et ses élèves aussi mignonnes que déjantées. Le fan-service est évidemment de la partie, que ce soit avec des cadrages coquins ou bien les pouvoirs pas toujours maîtrisés du garçon qui désintègrent les vêtements des filles quand le magicien éternue, le collège pour filles étant en fait un prétexte déguisé pour fournir un harem très peuplé. La trame scénaristique n’est pas très développée et les situations - ainsi que les comportements des demoiselles - manquent parfois de crédibilité, les gags ne fonctionnent pas toujours mais apportent du rythme, les enjeux personnels ne sont pas mis en avant... Rien de bien transcendant donc, mais laissons la suite tenter de remonter le niveau.