L'histoire :
Le responsable de l’assèchement des sources d'eau du village n'est autre qu'un chevalier sacré. La princesse Elizabeth le reconnaît immédiatement : il s'agit de Gilthunder, un des chevaliers qui a souvent pris soin d'elle lorsqu'elle était enfant. Seulement, celui-ci n'est plus le même et utilise ses pouvoirs électriques pour bloquer Elizabeth, Diane et Meliodas. Le chevalier sacré veut absolument éliminer les deux Deadly Sins. Diane et Meliodas ne sont pas vraiment gênés par les liens magiques de Gilthunder et s'en défont facilement. Le chevalier sacré se place alors en face de Meliodas et se rue sur lui l'épée à la main. Le Deadly Sin l'évite un temps mais finit par être percuté violemment par l'épée de Gilthunder. A terre, Meliodas voit son ennemi s'approcher de lui. Il l'écoute avec attention lui parler des autres membres des Seven Deadly Sins, de ceux qui sont prisonniers à ceux qui sont morts. Meliodas se redresse alors immédiatement : maintenant, il sait où se trouvent ses compagnons. Il va pouvoir en finir avec Gilthunder...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Seven Deadly Sins s'est offert avec son premier album des débuts plein de promesses. Celles-ci allaient-elles être tenues par la suite ? La réponse vient avec ce second volet qui est sorti simultanément. On retrouve bien sûr nos héros dans la situation dans laquelle nous les avions laissés précédemment : le chevalier sacré Gilthunder fait donc face à Meliodas, Diane et la princesse Elizabeth. Le combat peut donc commencer. La tournure prise dès les premières pages étonne puisque l'on voit le héros si fort jusqu'ici être opposé à plus fort que lui. Serait-ce une ruse ? La suite du duel tourne assez court et l'histoire part alors dans une nouvelle direction. Nakaba Suzuki ne perd pas de temps avec son récit et conserve ce ton dynamique qui a su plaire dès le premier opus. L'humour est toujours là bien sûr mais c'est surtout la capacité à rebondir qui plaît énormément dans Seven Deadly Sins : l'histoire ne s'éternise pas sur un combat ou sur ennemi, elle va de l'avant. Les dessins sont en plus toujours aussi réussis. Seven Deadly Sins a tout pour être l'une des nouvelles références du genre.