L'histoire :
Olmine a été faite prisonnière par Toyohisa, Nobunaga et Yoichi. Les trois guerriers en profitent pour l’interroger car elle fait partie de l’organisation Octobre. La jeune femme n’aime pas être traitée de la sorte mais leur explique de quoi il retourne : ceux qui comme les trois hommes viennent d’un autre monde sont appelés « Drifters » et l’organisation Octobre a pour but de les observer et de les réunir pour se battre contre les « Parias ». Ces derniers viennent eux aussi d’un autre monde mais sont maléfiques : lorsqu’ils arrivent dans cet univers, ils sont déjà devenus des monstres et sont menés par un certain roi noir pour semer la destruction sur tous les territoires. Nobunaga accepte volontiers de mener le combat contre les troupes du roi noir et a déjà un plan : mettre le pays à feu et à sang !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Bien que relativement prenant, le premier volume manquait d’une consistance scénaristique et on comptait sur celui-ci pour pallier ce manque. Heureusement, cela est chose faite dès les premières pages puisqu’Olmine, une demoiselle dont les formes plairont à plus d’un, explique à Toyohisa et ses deux autres camarades ce qu’il en est exactement. Ainsi, on comprend qui s’affronte dans la guerre, l’enjeu de celle-ci et le rôle des drfiters dedans. A la fin des révélations, il faut bien admettre qu’on a vu plus original comme intrigue de fond mais on reste tout de même accroché au récit car on assiste à pas mal d’événements : la rébellion d’un village, l’assaut d’un château et le début d’une autre bataille. Non seulement il y a énormément d’action soulignée par des graphismes riches en fluidité et en personnalité, mais on découvre également les talents de stratège et les points forts des personnages, ce qui rend le trio principal à la fois attachant et très intéressant. On est donc pleinement satisfait par l’orientation du scénario qui sait utiliser de façon intelligente les atouts du pêle-mêle de personnages historiques. La suite s’annonce déjà riche en action et surprises, autant dire qu’on a hâte d’y être.