L'histoire :
Sylvain et Horace, les deux nouveaux pompiers de la caserne, ne cessent de se faire remarquer. Le premier a la passion des incendies, au point de prendre une photo du feu lorsqu’il est sur le terrain. Il est aussi maniaque, au point de passer le balais une fois l’intervention terminée. Horace, lui, passe son temps à oublier ses affaires. Et c’est plus grave quand il part sur une intervention. Il ne se rappelle plus où il range ses équipements de feu voire même à quel endroit il a garé le camion à grande échelle...
Le lieutenant se pose des questions en voyant Horace en train de faire sa lessive dans la cour de la caserne. Depuis que la société qui lave les tenues est en grève, les pompiers ont monté une organisation hyper efficace. Horace savonne, Sylvain brosse les vestes et Carême fait un rinçage à l’aide d’une lance à incendie. Enfin, Lucie essore les tenues, Arnold étend et Steph plie les tenues pour terminer. Le lieutenant observe et écoute sans rien dire jusqu’à la fin. Puis il hurle de rage pour leur dire qu’avec cette organisation à la pompier, où tout le monde à une tâche à faire, il n’y a plus personne pour partir en intervention !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les pompiers sont de retour dans un nouvel album qui les met sous pression. En effet, cette fois, le fil conducteur de leurs gags en une planche, c’est une grève de la société qui lave leurs tenues. Et c’est dans ce genre de situation qu’on peut compter sur l’entraide et l’organisation à la pompier. Evidemment, sous la houlette su scnériste Christophe Cazenove, rien ne va bien chez nos pompiers qui vont connaitre moult situations drôles et/ou catastrophiques en essayant de trouver des solutions à leurs soucis. Il faut dire qu’ils sont gâtés avec leurs nouveaux collègues Horace et Sylvain. Les deux compères savent y faire pour mettre le feu à la caserne et au passage agacer le lieutenant. Depuis le début de cette série humoristique, c’est le gag en une planche qui est privilégié par les auteurs. Un rythme humoristique qu’ils maitrisent et qui fonctionne. Au dessin, Stédo garde le style habituel à l’aide d’un dessin dynamique « gros nez » qui colle à merveille à l’humour développé. Un humour franchouillard à souhait...