L'histoire :
Arthémus Del Conquistador a remodelé la réalité du monde d’Alysia avec les éclats de pierres divines qui se sont fixés sur son journal quand les légendaires se sont battus contre Kalandre. Dès cet instant, Arthémus a eu le pouvoir de rendre réel tout ce qu’il écrivait dessus. C’est donc grâce à ce fichu journal que cette ordure a redéfini la vie des habitants d’Alysia et la sienne, s’octroyant même les aventures des légendaires. Il est devenu le plus grand des héros alors que les légendaires disparaissent de la mémoire collective du monde. Retrouver cet usurpateur ainsi que Razzia et Ténébris est devenu une priorité pour les légendaires. Ils n’ont pas réussi à convaincre les elfes de les aider, mais en revanche, ils ont réussi à rallier Amy à leur quête. Cette dernière peine à réaliser que celui qu’elle considérait comme un père ait pu la trahir et qu’elle soit à présent une démone chiridirelle qui a fini ses jours au bras de Razzia.
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Arthémus Del Conquistador a mis un beau bordel sur Alysia et un paquet de monde veut lui faire la peau. Les « Eveillés », ceux qui ont pris conscience de la supercherie d’Arthémus, ont embarqué à bord de leur navire céleste et veulent mettre fin à la malédiction de « world without ». En libérant les habitants d’Alysia, la réalité devrait réapparaître. Ils devraient retrouver la mémoire ainsi que leurs aptitudes (ce qui devrait à nouveau remettre un beau bazar). Ce 4ème album (et avant-dernier) du cycle World without est à nouveau très riche en rebondissements et en suspense. Il faut parfois s’accrocher pour pouvoir suivre l’ensemble des enjeux en cours. Pour complexifier le tout, de nouveaux personnages ont fait leur apparition et viennent rajouter du désordre au désordre. Evidemment, au-delà d’un scénario dense, on retrouve les classiques combats de super-héros, des créatures aux dons extraordinaires, des clans qui s’affrontent dans des luttes fratricides, des sorts de magie, des vaisseaux spatiaux incroyables : autant d’ingrédients qui assurent le succès de cette série au long cours. Le dessin fortement inspiré de l’univers des Chevaliers du zodiaque (Saint Seya en VO) reprend les mêmes codes et donne une impression d’action perpétuelle.