L'histoire :
Tandis que la belle Serena sort de la douche, exhibant une poitrine affolante, Marco est au téléphone avec Francesca. Ce soir, malgré la fatigue, il accepte de sortir « boire un verre » avec elle. Mais il lui pose tout de même une condition sine qua non : qu’elle vienne sans culotte. Serena, quant à elle, elle préfère rester à la maison. Elle se doute bien que Marco ne va pas voir Francesca pour un scrabble, mais ils sont un couple libre et elle laisse donc vaquer son homme. Plus tard, lorsque Marco fait monter Serena dans sa bagnole de sport, il constate rapidement qu’elle ne porte pas de culotte. Chouette. En plus, elle s’est intégralement épilée. Trop cool. Le verre est vite bu et dès qu’ils sont de retour à la voiture, une petite levrette se met en branle sur le siège passager. Dehors, il se met à pleuvoir… et cela donne des idées à Marco : il propose à Francesca de faire ça sous la pluie. Il l’attrape donc sur le capot, par derrière, sous une pluie torrentielle. Résultat : le lendemain, il a chopé une bonne crève et la fièvre l‘empêche de participer à une partie à trois avec Serena et Francesca…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Rahlala l’Italie… Incroyable ce pays, non ? Là-bas, les filles sont incroyablement sexys, libertines, exhibitionnistes, bisexuelles et nymphomanes. Leur seul problème, en fait, c’est qu’elles ont des goûts très discutables pour choisir des mecs avec des coupes de cheveux franchement ridicules. Voilà : c’est ici le gros du message narratif émanant de ce second recueil. Ah oui, évidemment, il y a aussi 80% de scènes de cul, avec des pénétrations, des sodomies, des léchouilles, des faciales et tout le tralala habituel… Mais bon, rien que du très normal, s’agissant d‘un ouvrage porno. Deux historiettes surnagent vaguement : Marco est cloué au lit tandis que ses copines batifolent sauvagement sous son nez ; et puis 6 mois plus tard, les amis de Serena lui ont réservé une surprise drôlement coquine pour son anniversaire. On ne peut donc pas dire que Tarlazzi se soit cassé la nénette pour le scénario (classique). Ah si, incroyable, il y a une vraie morale, lorsque Marco se chope une bonne grippe pour avoir forniqué sous la pluie : sortez couverts ! A la fin, Tarlazzi pousse aussi le fantasme jusqu’à une mise en abyme hors contexte : le voilà soudain himself en scène à sa table à dessin, en friponne compagnie, pour une fellation de 4 pages, histoire d’atteindre le quota des 46 planches requises. En ce qui concerne le dessin, il sait toutefois faire plaisir à ses lecteurs, car son style ultra-réaliste confine parfois au roman-photo. Amis de gente masculine, ne vous étonnez donc pas de vous retrouver le bas-ventre façon tour de Pise…