L'histoire :
Le meilleur athlète du monde s’incarne dans l’athlète amérindien Jim Thorpe, alias Wa-Tho-Huk, qui marqua à tout jamais les jeux olympiques de Stockholm en 1912. Il termine premier de quatre épreuves sur cinq, il brille au décathlon et au pentathlon. A son retour aux Etats-Unis, il est acclamé par la foule lors de la parade olympique sur Broadway…
La française Suzanne Lenglen devient championne de tennis en gagnant d’abord le tournoi de Wimbledon, puis Roland-Garros. C’est à ce moment là que son surnom apparait, « la divine », grâce à sa grasse et son élégance. Suzanne se présente aux jeux olympiques d’Anvers de 1920 en tant que grande favorite. Elle survole la compétition et rentre dans l’histoire…
Les jeux olympiques de Melbourne en 1956 sont marqués par deux athlètes en particulier : la tchécoslovaque Olga Fikotova et l’américain Harold Connolly. Olga remporte la médaille d’or au lancer du disque tandis que Harold remporte le lancer de marteau. Les deux médaillés d’or tombent amoureux et malgré une situation géopolitique très compliquée à cette époque, ils se marient à Prague, réchauffant ainsi un temps la guerre froide…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les éditions Eidola présentent un livre original à l’occasion des Jeux Olympiques d'été de Paris 2024, qui raconte douze histoires devenues iconiques et survenues durant les olympiades modernes. Chacune de ces histoires est dessinée par un auteur international qui apporte sa patte graphique propre. Treize auteurs et actrices sont au générique : Katerina Cupova, Adjim Danngar, Adriano Fruch, Benoit Hamet, Maran Hrachyan, Greg Lacouture, Lola Lorente, Marcel O’Leary, Delphine Rieu, Miroslav Sekulic-Struja, Silki, Ivan Stojkovic et Varya Yakovleva. On découvre ainsi des athlètes champions olympiques qui ont marqué les jeux dans leur discipline, soit par leurs capacités physiques exceptionnelles, soit par leurs engagements politiques qu’ils ont osé mettre en lumière. Ce livre nous donne l’occasion de découvrir des athlètes et leur histoire propre. Il montre avant tout que le sport permet de rassembler les peuples tout en portant des valeurs communes nobles. Chacune de ces histoires se présente dans leur ordre chronologique, démarrant avec les olympiades de 1912 en passant entre autre par Moscou en 1980, la ville d’Atlanta en 1996, puis se terminant avec celle de Pékin en 2008.