L'histoire :
Donald se trouve à bord du bateau des pirates. Il tente de les capturer, mais la situation se retourne contre lui. Il prend la fuite et se réfugie à bord du « White deep ». Malheureusement pour lui, le submersible est attaché au bateau, ce qui l'empêche de plonger. Donald termine donc prisonnier dans les cales du navire, avec le reste de l'équipage. Grâce à une feinte, il parvient à se libérer de ses liens et décide d'envoyer un message de détresse à la marine de guerre. Pendant ce temps, les pirates explorent le submersible afin de comprendre comment l'utiliser. Ils ne parviennent pas à le démarrer : le moteur reste bloqué. Le seul capable de la faire fonctionner, c'est Donald ! Au même moment, Donald fait sauter la porte de la cale et s'échappe avec les autres prisonniers. Soudain, ils tombent tous nez à nez avec les pirates...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce cinquième tome des aventures de Donald en tant qu'agent secret Doubleduck marque la fin de l'histoire de la mission « White Deep ». Ici, Donald doit mener à bon port un submersible capable de se rendre au cœur de la Terre afin de sauver la planète. L'action, l'aventure et les rebondissements forment le cocktail explosif de cette aventure moderne d'espionnage, façon Disney. Réalisée par les impersonnels studios Disney, la BD présente un dessin modernisé de Donald, avec des décors souvent simplifiés au maximum. On reste loin du standard auquel Carl Barks (le dessinateur emblématique de la dynastie Duck, décédé en 2000) nous a habitués. En matière d'espionnage, celui-ci avait pourtant su inventer, à l'époque, l'étonnant personnage de Fantomiald... Doubleduck trouve plutôt son inspiration du côté des histoires de James Bond, tant au niveau du scénario que des personnages.