L'histoire :
Depuis la transformation de son ami Salim en loup, Camille est inquiète. Elle se demande comment elle va pouvoir lui rendre son apparence. Elle et ses compagnons poursuivent leur route à travers les grandes plaines du nord en direction d’Al-Jeit. Ils font halte dans une auberge sur le bord du lac Chen. L’aubergiste donne des chambres à tout le monde, sauf à Salim le loup qui doit dormir à l’écurie. Camille préfère dormir à côté de lui et elle le suit dans l’écurie. Or dans la nuit, un dangereux mercenaire les attaque. Le seul moyen pour Camille de faire face est que Salim retrouve sa forme humaine. Elle se concentre sur lui et parvient à lui redonner son aspect d’homme. Salim a juste le temps de libérer Ewilan, puis il stoppe le mystérieux mercenaire en le tuant. Le danger rode donc toujours. Le petit groupe doit rester vigilant. Le retour de Salim en tant qu’homme rend le voyage plus facile jusqu’à la capitale. Une fois là-bas, ils sont reçus par l’empereur qui leur fournit un de ses navires. Ainsi, Ewilan et ses compagnons prennent la mer vers l’archipel Alines, lieu où se trouve ses parents…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce septième et dernier tome de la Quête d’Ewilan, série adaptée de l’œuvre de Pierre Bottero par Lylian, clôt la grande aventure fantastique de la jeune Camille, ado surdoué, et de l’univers étrange de Gwendalavir. Lylian termine par une conclusion bâtie sur la délivrance. Une délivrance pour l’héroïne, d’abord, puis pour ses compagnons de route et, enfin, ses parents. On en dira pas plus, bien sûr, mais cette quête se termine une nouvelle fois de manière un peu convenue... Si ce n’est l’ouverture vers la future série à venir des mondes d’Ewilan. Ce tome propose d’ailleurs un extrait pour mettre en appétit les fans : les trois premières planches scénarisées par Lylian et mises en images par le duo Baldetti/Formicola. Pour l’illustration de ce dernier tome, Baldetti propose un trait semi-réaliste proche du style manga collant parfaitement à cet univers d’heroïc-fantasy. Son dessin fluide et dynamique, agréable à regarder et à lire, participe pleinement à la narration. Cette fin de série donne donc naissance à une autre, exploitant à fond l’univers imaginé par Pierre Bottero.