L'histoire :
La grande journée médiévale bat son plein. Maestro a emmené ses élèves participer à cet évènement. Chacun profite de l’occasion pour arborer un costume de l’époque. Pierrot, Petit-Gros, Teigneux et Nabot se sont vêtus d’une tenue de chevalier avec cotte de mailles et épées. Pierrette se déguise en Jeanne d’Arc ; quand à Maestro, il hésite entre deux déguisements, celui de maître d’université ou celui de Pape. Il demande aux enfants de choisir l’un des deux costumes. Les enfants hésitent, certains de croire que Maestro s’est trompé d’époque pour ses costumes. Il semble alors nécessaire à Maestro de faire quelques rappels importants sur cette période de l’Histoire de France. Il rassure d’ailleurs tout de suite les enfants, car il ne sera pas question, dans ses explications, de traiter que de la fin du moyen-âge et de la guerre de cent ans. Il démarre ainsi son cours sur l’année 1301, qui voit le début des universités en Europe, ainsi que l’éclosion des cathédrales…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les éditions Soleil enchaînent les périodes avec la série Il était une fois l’Homme. Ce tome 5 présente une nouvelle époque de l’Histoire de France : le moyen-âge, traitée avec brio par le célébrissime Maestro. Le concept reste le même que pour celui de la célèbre série télé des années 80 : raconter en images, aux travers de personnages amusants, des anecdotes importantes ou marquantes de « l’Histoire de l’Homme »... ou plus particulièrement de l’Histoire de France. L'approche docte du maître Maestro permet ainsi des éclairages historiques au fil des pages, ponctués des éléments clés de cette série télé mythique. A savoir : l’humour, clef de voûte de l’ensemble, mais aussi, une narration simple, efficace et ludique. Le graphisme utilisé se traduit de deux façons. Le dessin de Minte s’adapte complètement à la bande dessinée, avec des personnages de style gros-nez bien marqués, tandis que l’utilisation du graphisme de Barbaud, issu du dessin animé, est utilisé pour marquer la période de l’Histoire racontée par Maestro. Le lien avec la série télé se fait ainsi parfaitement, sans pour autant faire de plagias totaux depuis le dessin animé. Une façon de plaire aux nostalgiques.