L'histoire :
Adrien, Claire, Rachel et Joshua profitent du coucher de soleil. Les jeunes cherchent un petit truc sympa à faire. Avec sa poésie légendaire, Joshua propose de bander les yeux des filles qui devront reconnaître qui les baise. Une idée pas vraiment du goût de Claire, même si les autres rient a gorge déployée. C’est à ce moment qu’arrive Jack, un ancien ami d’enfance de Claire. Elle est ravie de le revoir et le groupe propose de fêter ça autour d’un verre. Ils vont au Banco : c’est pourri, mais c’est là où l’alcool est le moins cher. Claire fait du rentre dedans à Jack devant le pauvre Adrien, fou de jalousie. Il a toujours rêvé de sortir avec elle mais n’a jamais réussi à le lui dire. Elle attire Jack dans les toilettes pour « jouer au docteur » comme à l’époque où ils étaient enfants. Pendant que Claire joue les infirmières prévenantes, Adrien tente de trouver une solution. Il a une idée : il appelle le vigile et lui signale qu’un mec fait du forcing à son amie dans les toilettes. Il doit intervenir ! Le vigile se rend sur place et trouve le duo en plein ébats. Il veut les mettre dehors, mais Claire y voit une super opportunité : deux beaux mecs au lieu d’un, c’est toujours plus agréable. Adrien, inquiet, attend, mais personne n’est revenu. Il est tellement énervé qu’il renvoie paître une fille qui tentait de le séduire. Mais que fait Claire ?
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les amis ça se finit parfois en X. Cercle intime raconte les expériences délurées de quatre amis qui collectionnent les scènes chaudes voire brûlantes. Au cours de diverses scénettes, Atilio Gambedotti utilise un schéma classique dans le porno : une rencontre, du sexe et une petite chute. Que ce soit avec une handicapée, entre amis, avec une aveugle ou des inconnus, le quatuor connaît la chanson et multiplie les relations de plus en plus hot. Rien de bien original en somme, puisque tout est fait pour que le X fasse de l’effet. C’est donc le cas avec les dessins plus qu’explicites qui jouent sur les gros plans de très gros engins ou des formes avantageuses. Les dialogues ne font pas dans la dentelle non plus et à l’image des personnages qui n’ont pas froid aux yeux, c’est direct et bien placé : on fait dans le cul et rien d’autre ! Excitant sûrement, car le graphisme de Gambedotti, façon manga gros nichons, est tout de même bien charnel. Mais pas de quoi non plus rentrer dans le cercle fermé des classiques du genre.
