L'histoire :
Il est 20h43 et le professeur de latin Alexy travaille encore au bahut. Il a fini de corriger les dernières copies et il s’apprête à partir quand la porte s’ouvre. La pulpeuse Jessica entre et reproche d’un ton sensuel au professeur d’être resté trop longtemps à l’établissement alors que c’est interdit. S’il aime tant les interdits, elle va en opérer un autre. Elle lui caresse fermement l’entre-jambes. Le professeur est choqué et ne sait pas quoi dire. Jessica ajoute que les filles de l’internat rêvent toutes d’être à sa place et de voir son sexe : il ne peut donc pas lui refuser cette faveur. Abasourdi, Alexy reste comme paralysé quand la porte s’ouvre à nouveau. Cette fois, c’est la coquine Chloé qui rentre et qui est surpris par ce spectacle. Il semble que le pantalon du prof gonfle à vue d’œil à cause de la main baladeuse de Jessica. Chloé se met derrière lui et encourage Jessica à aller plus loin. Elle ouvre la braguette et un grand sexe en sort, déjà bien dur et dressé haut. Il va falloir être au moins deux pour s’occuper du cher professeur. Jessica malaxe les bourses et le sexe d’Alexy et le rentre finalement dans sa bouche. Il ne risque pas d’oublier cette nuit de sitôt…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le mot Kiff du titre et la couverture sans équivoque ne laissent pas de place à la tergiversation : cet album ne vous donnera que… du cul ! Dans un style décomplexé et un réalisme très hot, Max Sulfur imagine des scènettes X du quotidien. Attention, chaud devant : les popotins sont affriolants ! Les scènes de sexe sont d’une intensité folle à en perdre la tête. L’artiste a dû avoir de bien mauvais souvenirs à l’école, car de nombreux passages montrent des professeurs (voire doyens) s’adonner à de véritables orgies de plaisir avec de magnifiques étudiantes. Vous l’aurez compris : ici, on ne s’embarrasse pas avec la morale, ni avec les notions d’âge. On ne fait pas non plus dans la finesse avec des textes crus et des scènes d’un hard assumé et revendi… qué… ou queue, c’est selon. Mais il faut bien le reconnaître : le style graphique de Sulfur fait son petit effet. Ses femmes délurées sont d’une beauté et d’une sensualité sans égales et les corps inondent littéralement les cases, quand ce n’est pas le foutre qui gicle de partout. Les couleurs délicates viennent apporter un peu de douceur à des scènes ultra chaudes et brut de décoffrage. Vous vouliez du cul ? Avec cette série, vous aurez du gros cul !