L'histoire :
Alors que la période ptolémaïque vit ses dernières heures en Égypte et que l'Ordre des Anciens étend son pouvoir, Aya et la Confrérie tentent de résister en menant des assassinats ciblés. Basée à présent à Rome, elle poursuit désormais son combat face à la dictature de Jules César en s'associant notamment à son sulfureux fils Brutus. Malgré les mises en garde de Marc-Antoine, le meurtre du tyran se produit devant le Sénat. Mais en voulant sauver Rome, Aya n'a t-elle pas mis en marche une tragédie encore plus grande pour la ville et son peuple ?
Assassin's Creed Réfections : En utilisant l'Animus, Juhani Otso Berg, désormais couvert de l'habit de Croix noire, cherche à analyser et mieux comprendre ses adversaires. Il se penche ainsi sur le parcours d'Ezio Auditore et de son histoire d'amour avec une certaine Joconde, de Altaïr Ibn-La'ahad en Chine face au terrible Gengis Khan, du navigateur Edward James Kenway en quête d'un trésor au fond de l'océan, de l'amérindien Ratonhnhaké, Ton, et de son amour paternel pour sa fille.
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
L'éditeur Black River continue de développer son catalogue d'adaptation de jeux vidéo avec un nouveau titre pour la franchise Assassin's Creed. Souvent assez décevants de par le manque d'ambition scénaristique et visuelle, ces titres de commandes peuvent peut-être satisfaire les fans de la saga d'Ubisoft. Mais clairement, cette fois-ci, on ne peut rester que dubitatif devant ce titre, tant les défauts nous sautent aux yeux. Les récits sont d'une platitude extrême et incarnés par des personnages totalement vides et fades. Différentes époques et périodes historiques pour au final un ensemble brouillon et plus que dispensable. Parfois ces histoires sont sauvées par un dessin maîtrisé et qui sort de l'ordinaire, mais là aussi le constat est assez terrible. Même si Valeria Favoccia rend une copie honorable, le travail de PJ Kaiowa sur le titre Origins est très décevant et la colorisation plus que basique renforce ce sentiment. Vous l'avez compris, avec ce titre c'est un peu une licence qu'on assassine…