L'histoire :
Sept ans ont passé depuis que Cade a affronté Dark Krayt, laissant le Sith prendre le contrôle de la galaxie et du nouvel Empire. Depuis lors, l’Amiral Gat Stazi refuse de se plier à cet état de fait. Avec ses hommes, il multiplie les attentats contre le seigneur Sith. Sur la planète de Dac, un prochain croiseur impérial est en cours de construction et fait d’ores et déjà l’objet de convoitises de la part des rebelles, qui fomentent déjà un plan pour mettre la main dessus. Malheureusement, les soldats impériaux sont mis au courant de cela par le biais d’un espion. Ils placent donc leurs vaisseaux afin de contre-attaquer au moment adéquat. Dès lors que les rebelles s’apprêtent à mettre la main sur le vaisseau, les croiseurs se mettent à tirer avec pour objectif de capturer ou de tuer Stazi. Le vaisseau dans lequel se trouve le leader des rebelles subit une véritable pluie de tirs et la résistance des boucliers diminue fortement. Le croiseur s’apprête à exploser, lorsque le bras droit de Stazi emmène le vaisseau contre les chantiers de la planète, afin de sauver son amiral…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce dernier tome s’avère particulièrement décevant ! Si John Ostrander n’était pas au générique, avec la présence évasive de Dark Krayt, on se demanderait même si ce volet a un quelconque rapport avec les trois premiers tomes de Star Wars Legacy. Ces trois récits complètent plus l’univers qu’autre chose et Cade Skywalker, héros jusqu’ici, n’est même pas présent. L’intérêt des divers scénarii est assez limité et n’apporte aucune valeur ajoutée à la série. Le dernier quart du volume est composé de divers artworks et notes des auteurs originaux (Dursema et Ostrander). La seconde déception vient des dessins. Ils sont vraiment très moyens : si Omar Francia s’en sort honorablement, Alan Robinson rate complètement le coche et nous offre des planches assez… laides. Dursema se fait regretter ! Autant scénaristiquement que visuellement, ce tome est donc à considérer comme une parenthèse… malheureusement sa qualité le rend dispensable. Vivement le tome 5 qu’on retrouve Cade et sa bande !