L'histoire :
Veronica mène une vie de famille des plus tranquilles, si ce n’est que son père, millionnaire, ne peut pas voir en peinture son nouveau petit ami, Archie. En effet, c’est un garçon très gentil qui est doué pour réussir, malgré-lui, les catastrophes. Il est vrai que sa dernière conquête a détruit en grande partie leur maison. Pourtant Veronica doit partir skier avec ses parents et rêve de pouvoir emmener Archie. Hélas, son père est bien décidé à lui imposer un autre garçon au travers du beau Reggie Mantel. D'ailleurs, il vient juste de l’engager comme consultant. De colère, Veronica s’en va rejoindre sa chambre et accessoirement retrouver Archie grimpé sur la branche de l’arbre à côté de sa fenêtre. Elle lui raconte les derniers évènements de la soirée avec son père et la dernière recrue de son père, Reggie Mantel. Très agacé, Archie a besoin de trouver rapidement un plan pour contrer ce nouvel opportun. Il se rend dans son QG, chez Pop’s, retrouver son ami Jughead. Il est d’ailleurs déjà collé au comptoir en train de mendier un Hamburger…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les éditions Glénat poursuivent les aventures de Archie, un des personnages centraux de la série télé Riverdale, avec ce nouveau tome riche en rebondissements. Au scénario, Mark Waide, associe une nouvelle dessinatrice à son récit en la personne de Veronica Fish. Rien ne vaut une Veronica pour dessiner l’héroïne du moment, la sublime Veronica Lodge, fille de l’homme le plus riche de Riverdale. Pour ce faire, elle use d’un trait totalement adapté à l’univers de la série, des personnages réalistes mais stylisés évoluant dans des décors assez limités. Ce format comics fait peau neuve avec une présentation plus soignée, une couverture cartonnée et une réédition pour les fans du premier volume consacré à Archie. Les habitués de la série télé ne vont pas être déçus, tous les personnages sont présents dans ce récit chapitré et composé de moult épisodes à sensation retraçant les exploits malheureux de Archie, entre romance et campagne politique. Cette série « très américaine » ne manque pas non plus d’humour, bien mené par le scénariste Mark Waid.