L'histoire :
Errant dans la jungle, Jana, Mike et Togg assistent avec stupeur au spectacle étonnant d’une navette spatiale s’écrasant sur la montagne-dieu, non loin d’eux. Malgré la zone de crash en dehors de leur territoire, Jana souhaite aller jeter un œil là-bas, où cas où elle et ses amis pourraient être utiles. Or, pour s’y rendre, ils doivent escalader une falaise. Un boa énorme attaque alors la jeune femme, qui réussit à l’éliminer. Après s’être repus du serpent et avoir passé une nuit autour d’un feu de camp, les trois amis reprennent la route. De nouveau, la faune locale se montre hostile : un tigre à dents de sabres les prend en chasse. Une fois encore, le félin, bien que très agressif, ne peut résister aux coups de couteaux de Jana et de Togg. Pour arriver à la montagne, il ne leur reste plus qu’à traverser un marécage, peu profond mais peuplé de dimétrodons, d’énormes dinosaures à la recherche de nourriture. Mike et ses amis les esquivent discrètement, puis arrivent aux abords d’une plage où un sous-marin est échoué...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce second cycle de Jungle Girl reste dans la même veine que son prédécesseur. Au générique, on retrouve bien évidemment Frank Cho et Doug Murray, qui envoient cette fois-ci la jolie blonde sur les traces d’une navette spatiale écrasée sur la montagne-dieu, sous ses yeux et ceux de ses amis. Le récit se suit très agréablement et n’a, à aucun moment, d’autre prétention que de jouer la carte du divertissement. Les rebondissements s’enchainent très rapidement... malgré leur caractère gigantesque et peu crédible. Jungle Girl ne retiendra pas vraiment l'attention pour sa profondeur intellectuelle, ni pour la subtilité de ses paraboles, mais en raison d'un unique sujet : Jana ! L’héroïne a fidèlement repris le design du personnage créé par Frank Cho (Shanna) et propose donc une plastique des plus sexy et une vaste panoplie de bikinis. Adriano Batista illustre toujours les acrobaties de la belle avec un véritable soin... Il a même progressé depuis le premier opus. En fin de volet, une galerie de croquis préparatoires montre des crayonnés impressionnants du jeune artiste. Une Saison 2 toujours distrayante.