L'histoire :
Vincent Doonan a engagé Gwenpool et sa bande pour protéger le quartier qu'il protège. Seulement, celui-ci n'est pas exactement ce qu'il prétendait être. En effet, il y a plusieurs décennies, celui-ci est né dans un des laboratoires de Fatalis. Alors qu'il vient tout juste d'échanger avec son créateur, le Fatalibot s'enfuie car une Ecureuillette du futur a débarqué et détruit le laboratoire. Vincent trouve refuge chez un vendeur d'électronique qui va le cacher, le protéger et même lui offrir une apparence plus humaine. Plus tard, le fatalibot comprend que l'homme qui l'a recueilli à une aversion profonde pour les mutants et les héros. Il décide alors de partir. Des années après, il est en colère car Gwenpool n'a pas suivi ses ordres. Il lui montre alors l'étendue de ses pouvoirs....
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
L'énergique Gwenpool est de retour dans une nouvelle salve d'épisodes qui vont ravir celles et ceux qui avaient déjà succombé aux charmes de la belle. Cette revue reprend là où nous avions quitté l'héroïne, à savoir en proie avec son employeur qui n'est autre qu'un fatalibot ! Christopher Hastings va une fois de plus écrire un récit très dynamique, plein d'humour et qui se destine avant tout à un lectorat bien précis : les jeunes. En outre, plutôt féminin. La formule est divertissante et ne plaira pas aux réfractaires initiaux,mais globalement le titre se tient, multipliant les clins d’œil et autres situations croquignolettes. Visuellement, le résultat est irrégulier avec un bon Gurihiru et d'autres artistes moins à leur aise. Si vous êtes fans de Gwenpool, ce numéro saura évidemment vous combler. C'était le but, non ?
