L'histoire :
Ce numéro contient :
- Guardians of Nowhere (épisode 3) : Depuis qu'il a acquis ses pouvoirs, Yotat a décidé de prendre le pouvoir sur Nulle Part et pour commencer, il vient de mettre une raclée à Drax !
- Korvac Saga (épisode 3) : Sur l'itinéraire du cortège de bienvenu situé sur la 10e rue, Mar-Vell et Vance Astro enquêtent sur l'assassinat de Carina Korvac, un meurtre qui voit les deux barons de la Ville faire une trêve le temps de sa résolution...
- Infinity Gauntlet (2015) (épisode 3) : Vaincu par Drax le Destructeur, Thanos se met en tête de récupérer des gemmes. Pour cela, il choisit de suivre une famille qui tente de survivre...
- Star-Lord and Kitty Pride (épisode 1) : Depuis qu'il est sur Battleworld, Peter Quill a refait sa vie en devenant chanteur !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce troisième numéro de Secret Wars : Les Gardiens de la Galaxie commence fort avec un combat des plus spectaculaires entre deux destructeurs auto-proclamés : Drax et Yotat. Le scénariste Brian Michael Bendis a imaginé un récit des plus efficaces. Les scènes d'action sont spectaculaires, les dialogues sonnent justes. Sans contrainte, l'auteur semble se faire plaisir et profiter au mieux de la liberté offerte pendant la parution du crossover Secret Wars pour revisiter l'univers des Gardiens de la Galaxie. En plus, il a droit à un Mike Deodato Jr époustouflant. Korvac saga reste toujours d'un intérêt très moyen. Dan Abnett ne parvient pas à nous emballer avec ce récit aux rebondissements assez prévisibles. Astucieusement, le troisième chapitre d'Infinity Gauntlet met en scène un personnage dans l'ombre depuis le début de l'histoire co-écrite par Gerry Duggan et Dustin Weaver : Thanos. Celui-ci joue les manipulateurs et nous permet de mieux comprendre l'univers post-apocalyptique de ce titre. Visuellement, c'est toujours très bien. Star-Lord and Kitty Pride est un récit écrit par Sam Humphries qui nous montre un Peter Quill dans une situation décalée. Un épisode tout sauf prise de tête illustré passez joliment par Alti Firmansyah. Encore une bonne revue !