L'histoire :
Fatalis a pu regarder en direct l’attaque de ses insectes mécaniques volants par le biais des caméras intégrées. Il a pu se rendre compte que Johnny, Jane et Ben possèdent de drôles de capacités. Seul Red n’a pas l’air d’avoir été touché par l’expérience ratée. Cela met en colère Victor qui se doute que les Quatre Fantastiques vont tout tenter pour l’arrêter. A l’heure actuelle, il est l’instigateur d’un camp de réfugiés où nul argent n’est exigé pour être nourri et logé. Le succès est important et la contrepartie ridicule puisqu’il faut juste se faire tatouer un dragon à la base du cou, pour montrer sa fidélité à Fatalis. Quelques minutes plus tard, les Quatre Fantastiques arrivent enfin. Chacun tente l’un après l’autre à battre Victor mais en vain, seul Red le surprend par ses capacités élastiques. Victor ne veut pas s’avouer vaincu. Il active alors une puce injectée lors du tatouage des membres du camp pour les diriger tels des robots. L’armée de Fatalis est prête à s’abattre sur les quatre héros !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
C’est avec ce sixième numéro que se termine le second cycle des aventures des Ultimate Fantastic Four. Dans ce nouveau bimestriel, Warren Ellis raconte la première confrontation entre les Quatre fantastiques et Fatalis, un redoutable adversaire, à l’intelligence supérieure et à la force colossale. Les deux nouveaux épisodes sont une fois encore très spectaculaires. Entre le crash de la fantasticar et le combat qui suit, les rebondissements sont là et les destructions de décors aussi ! Fatalis ne déçoit pas, il envoie au tapis Ben, Johnny et Jane très facilement et ne doit sa défaite contre Red qu’au simple fait qu’il ne pensait pas ce dernier doté de pouvoirs. L’histoire est parfaitement découpée et Stuart Immonem amplifie le rythme de celle-ci grâce à des cadrages dynamiques et un dessin très fluide. Son trait se confirme comme étant parfaitement adapté à la série et il est vraiment dommage qu'il laisse la place au prochain numéro à Adam Kubert qui fait son retour. Un second cycle assez sympa se termine et l’on a grande hâte de voir ce que Warren Ellis concocte pour les trois prochains numéros.