L'histoire :
Pour son premier jour au lycée, Mokichi, un garçon plutôt habitué à être le souffre-douleur de ses camarades, a décidé de se faire une réputation pour pouvoir enfin vivre une scolarité tranquille. Pour cela, il a décidé de défoncer à coup de batte quiconque s’opposera à son projet de faire la loi dans l’établissement. Mais, malgré toute sa bonne volonté, Mokichi fini par tomber sur plus fort que lui et se retrouve rapidement la tête en sang. Il tombe alors sur la jolie Tamako et, croyant qu’il est encore en face de son adversaire, s’apprête à la frapper. Mais celle-ci l’envoi valser et c’est la syncope pour le garçon qui se réveillera bien plus tard à l’infirmerie. Là, le médecin lui apprend que la jeune fille pratique le sport de combat ultime : la lutte. Mokichi se rend alors au club de lutte pour revoir Tamako et la trouve en train de se faire maîtriser - à moitié nue - par une autre jeune fille assez violente. Devant une telle démonstration de force sur la personne de la jeune fille qui l’avait battu si facilement, Mokichi se rend compte à quel point la lutte peut être puissante. Il demande alors à la seconde jeune fille de bien vouloir l’accepter au sein du club et de faire de lui un homme !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Soyons clairs : avec cette nouvelle série, l’auteur d’Ikkitousen (Panini Comics) donne dans le deuxème degré total et assumé. Ici, point de scénario, mais des filles à moitié nues en train de réaliser des prises de lutte aux connotations sexuelles avouées, des pouvoirs spéciaux, des entraînements de folie et de la destruction massive. Tout est prétexte à montrer les culottes des jeunes filles plus que sexy ou des positions suggestives, ce manga étant totalement dévoué au fan-service pour homme sur fond de baston, comme l’assume d’ailleurs très bien l’auteur lorsque les phylactères de narration indiquent des phrases comme « toujours est-il qu’on montre bien sa culotte ». L’humour, lui aussi orienté pour les mecs, est omniprésent et donne dans le délire total. Les dessins sont assez plaisants, surtout lorsqu’il s’agit des demoiselles, la mise en scène est dynamique mais les combats se trouvent être assez répétitifs. Peu importe, l’important est de bien voir la culotte rentrer dans la raie ! Notons un point négatif pour l’éditeur qui laisse une demi-page totalement non traduite ! Cela est sans doute fait exprès car, à cet endroit, le personnage parle en chinois, mais une note en bas de page eut été appréciable pour éclaircir ce point. A lire pour se marrer et pour mater de la culotte et des gros seins. Vous êtes prévenus !