L'histoire :
Miyuri et Hana sont venues accueillir une nouvelle élève, Ekaterina Kurae, et cette dernière est si mignonne que Miyuri craque complètement en la voyant et que Hana a carrément un coup de foudre. Il faut dire que la petite fille ressemble à une poupée dans sa tenue de lolita gothique ! Pour l’accueillir dignement, Miyuri décide de l’emmener faire les magasins pour lui offrir une jolie robe, et leur chemin croise celui de Sasha, qui accompagne Tomo, Mayufu et Teresa lors d’une séance shopping. Seule Ekaterina s’en est rendue compte et cette dernière sourit mystérieusement sans rien dire avant de poursuivre sa route. Une fois au magasin, la petite fille fait des essayages et voit bien que Hana a l’air troublé. Profitant d’un moment où Miyuri s’est éloignée, elle lui demande de l’aider à se déshabiller, et c’est alors que la lumière s’éteint et que la petite fille chute. Lorsque la lumière revient quelques secondes plus tard, Ekaterina semble évanouie. Hana ne peut résister au charme de la petite fille à moitié nue et se met alors à lui faire un suçon sur le bras. Mais l’enfant se redresse car il s’agissait d’un piège : prétextant que l’adolescente a voulu lui faire des choses, elle fait apparaître une marionnette qui soumet Hana, car Ekaterina est en fait le Qwazer du cuivre…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Faisons la liste des défauts que présente ce second tome. Tout d’abord, l’adaptation est sévèrement mauvaise et fait montre de nombreux problèmes de traduction : le nom du nouveau personnage était annoncé comme Katrine à la fin du tome précédent et devient Ekaterina ici, on parle de « bonisheks » au lieu de « bosniaques »… On peut également ajouter à cela quelques dialogues incohérents et incompréhensibles mais cela vient peut-être de l’œuvre originale, vu le niveau pitoyable de celle-ci. Et parlons-en de l’« œuvre » elle-même : les personnages sont stéréotypés à mort, comme par exemple la pure et timide religieuse, clone de Rei Ayanami d’Evangelion pour le character-design et le caractère tout court, mais avec en plus des couettes en forme d’oreilles de chien, histoire de rajouter la catégorie « fille animalisée » à ce débordement de fan-service écoeurant (Ah oui : au cas où vous ne l’auriez pas encore compris, le scénario est ridicule et ne sert que d’excuse à montrer des jeunes, voire trop jeunes, filles se faire téter les seins et autres « amuseries »). Et ne parlons même pas des autres : idiote aux gros seins, héroïne (aux gros seins aussi) pleine de bonne volonté mais sans pouvoir, beau gosse powerfull mais froid et torturé… En dehors des dessins plus que corrects, il n’y a rien à retenir de cette série qui est simplement à vomir, le plus pitoyable étant peut-être la mise en scène sexuelle autour d’une gamine qui à l’air d’avoir huit ans, ou encore celle des viols des religieuses (avant de les tuer, bien sûr) devant les yeux d’une petite fille... Si vous avez froid cet hiver, vous saurez quoi brûler pour vous réchauffer…
