L'histoire :
Hinata, la rédactrice en chef du magazine Splash, a proposé à Kôta un concours contre le tout puissant studio Ozma. Tous les deux doivent travailler sur une mini-série en trois épisodes et le gagnant prouvera quelle est la meilleure méthode d'apprentissage au métier de mangaka. Alors qu'il reste moins d'une quinzaine de jours pour réaliser le manuscrit du premier épisode, Hinata a emmené Kôta, la call-girl Miki, et l'assistante Chika à la plage. Comme celle-ci est privée et que le but est de se détendre, la rédactrice incite tout ce petit monde à s'amuser, quitte à finir topless. Le soir venu, Hinata ramène une grosse bouteille de saké, histoire de fêter cette pause, et une invité inattendue pointe même le bout de son nez : Sayada la rédactrice de Comic Heat. Tous se laissent griser par l'alcool au point que, au petit matin, les filles sont quasiment toutes complètement nues autour d’un Kôta guère vêtu lui non plus...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le parcours de Kôta dans le monde professionnel des mangas est loin d'être de tout repos ! C'est ce que l'on a pu découvrir dans les trois premiers opus de Cimoc. Rien d'étonnant à ce que le héros se fasse offrir des vacances bien méritées, au moins le temps d'une journée. Ce quatrième tome s'ouvre donc sur une séquence à la plage où la sexy rédactrice en chef Hinata fait son possible pour détendre l'apprenti mangaka, et ce, en compagnie de son assistante Chika et de Miki l'hôtesse aux charmes certains. Lorsqu'en plus vient se greffer Sayada, il semblait évident que Lim Dall Young allait faire dérailler la soirée, surtout si elle était bien arrosée. Entre faux-semblants et scènes dénudées, la température est encore montée d'un cran ! La suite de l'album reprend bien sûr le chemin des coulisses du manga avec cette opposition de fonctionnement entre un studio et un artisan du métier. Très agréable, la lecture ravira ceux qui ont apprécié jusqu'ici la série, d'autant plus que Hae Won Lee se fait plaisir niveau dessin avec un soin très particulier apporté aux courbes des demoiselles en chaleur. Vivement la suite !