L'histoire de la série :
Taba Yoichi est un jeune homme qui vient de rentrer dans la Kagura Security, une agence dirigée par Yuka Kikushima. Son travail va consister à capturer des ectoplasmes qui ont la capacité de contrôler des programmes informatiques et prennent l’apparence d’humains ou de chats. Pour arriver à remplir ses missions, Yoichi va être accompagné d’une équipe d’experts en différents domaines, composée exclusivement de filles…
L'histoire :
Lors de la dernière mission, Yoichi a été gravement blessé et a même du être hospitalisé. Takami reste auprès de lui et le seul moment où elle s’absente, pour acheter de la nourriture, est celui où le jeune homme se réveille. Par la suite, il reçoit la visite de toute l’équipe et même Narusawa qui en profite pour rester au-delà des horaires autorisés. De son côté, Takumi s’en veut d’avoir menti à Yoichi sur l’endroit où est censé se trouver Maya, qui a été kidnappée. Elle décide donc de négocier avec les ravisseurs, des félins, et leur propose de libérer plusieurs de leurs congénères capturés par l’agence Kagura. Elle décide de leur montrer sa bonne foi et libère un félin nommé Erbert. Mais une chose étrange se passe : quelques minutes après, il se métamorphose en une étrange créature qui tue tous ceux qui osent un tant soit peu s’approcher d’elle. Takumi se rend ensuite à l’endroit où doit avoir lieu l’échange entre le disque de données contenant celles d’autres félins et Maya, mais la situation dégénère assez vite, le disque étant en fait vierge !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Cela fait maintenant plusieurs tomes que cette série se contente d’enchaîner les séquences explosives sans grande originalité. Si l’on ne peut nier l’évidente efficacité du mangaka pour illustrer son récit, on ne pouvait que regretter la linéarité dans laquelle était tombé le scénario, l’accumulation de nouveaux personnages venant rendre un peu plus confus la lisibilité de l’ensemble. Cette fois-ci, Akihiro Itô se contente de jouer la carte de l’action et, malgré un scénario à plusieurs embranchements, il recoupe rapidement son histoire. Les rebondissements se suivent à une vitesse folle et l’apparition de cette nouvelle race de félins a de quoi provoquer quelques frayeurs à l’agence Kagura dans les tomes à venir. Au niveau des dessins, nous retrouvons le charac-design typique de la série, avec un soin évident porté sur les personnages féminins, la gente masculine ayant tendance à se ressembler un peu (excepté Yoichi bien sûr). Vraiment impressionnantes, les explosions sont omniprésentes et dynamisent un titre qui n’en a déjà pas besoin en temps normal. Un tome au rythme trépidant, à lire d’une traite !