L'histoire :
Tôru met ses écouteurs sur les oreilles pour écouter de la musique très fort avant de sortir de chez lui. Il est tellement concentré sur son trajet qu’il ne remarque pas une demoiselle agenouillée dans les buissons. Grâce à son iris, celle-ci voit alors la probabilité de 100% s’afficher au-dessus du garçon et se jette sur lui. Elle se colle alors à son bras pour lui demander une faveur. Tôru a à peine le temps d’enlever ses écouteurs que Koyuki arrive à ce moment et fait tomber sa sacoche sous le choc. Le malentendu est vite dissipé et la demoiselle, Rei, explique qu’elle a perdu un pendentif précieux et que son iris lui a indiqué que le garçon a toutes les chances de le retrouver. Seulement, Tôru se montre très désagréable : il refuse tout net et ce, malgré que Koyuki lui demande de venir en aide à Rei. Quelques minutes plus tard, alors que Rei continue son chemin, elle se fait dépasser par une Kokyuki en pleurs...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le précédent volet (qui date d’un an et demi tout de même) ne proposait que des chapitres sentimentaux peu intéressants et on espérait qu’il ne s’agisse que d’un faux pas. Fort heureusement, nos attentes sont comblées avec ce sixième opus qui s’intéresse à une nouvelle affaire, celle d’une demoiselle ayant perdu un pendentif et misant sur son iris de probabilité pour le retrouver. Si la quête d’un pendentif n’est pas ce qu’il y a de plus réjouissant, l’affaire se montre vite assez compliquée car certains personnages sont malhonnêtes, d’autres veulent protéger en cachant des informations et une troisième catégorie souffre sans trouver une oreille compatissante. Au fil des pages, l’histoire se montre plus complexe que prévue et, si les sentiments des personnages ont une grande importance, l’intrigue possède une certaine cruauté pas forcément là où on l’attend. De plus, on a le droit à une surprise de taille sur un des personnages secondaires et cela pourrait amener pas mal de changements pour la suite. On est donc réconcilié avec la série : pourvu que ça dure !
