L'histoire :
L’hiver est aussi une saison qui inspire les filles Marui :
Les filles sont en train de gronder Yudaï qui a fait pipi dans la neige du haut d’un arbre lorsque Mitsuba les rejoint. Ne sachant pas pourquoi les autres sont en train de s’engueuler, la jeune fille leur propose de faire une bataille de boules de neige et commence à faire des munitions juste à l’endroit souillé par Yudaï. Mortifiés, les autres n’osent rien lui dire et commencent à fuir, mais cela ne va pas être aussi simple...
Les élèves ont changé de place et Miyashita se retrouve juste devant Hinoha. Elle décide donc d’en profiter pour tenter de devenir amie avec sa voisine de derrière et ce n’est pas la froideur de cette dernière qui va freiner son (trop?) grand enthousiasme...
Futaba devient un vibro-masseur humain pour ses sœurs : Hinoha s’en sert pour faire brûler la graisse de son ventre et Hinoha pour dénouer les tensions de son dos. Cependant, leur père leur interdit de continuer à profiter de leur sœur dès qu’il découvre cela. Désormais délaissée, Futaba va tout mettre en œuvre pour vibrer encore plus et devenir un super vibromasseur...
...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
On pourrait croire que, au bout de cinq volumes, la série commence à montrer des signes d’essoufflement, mais ce n’est heureusement pas le cas. Toujours sous forme de petites histoires (on en dénombre 21 au total ici), les triplées continuent de nous faire rire de par leur stupidité et leur grain de folie. L’auteur pousse encore plus loin les délires à tendance sexuelle avec notamment des petites culottes à profusion et des comportements involontairement - du moins la plupart du temps - indécents... Certes, on retrouve toujours les mêmes rebondissements et retournements de situations mais, après tout, la formule est efficace et c’est bien là le principal, non ? Débordant d’expressivité et de personnages mignons, les graphismes renforcent également l’aspect comique des situations tout en offrant un bon dynamisme aux gags. Pour faire simple, ce cinquième volume continue de nous faire rire et on espère que le sixième en fera autant.
