L'histoire :
Miko a beau venir de la capitale, elle ne sait pas se montrer attentive en cours. Toutefois, cela ne l’empêche pas de constater que la main du professeur d’histoire arbore d’étranges cloques. Aujourd’hui, après les cours, Miko retrouve sa camarade Maki dans les bois. Cette dernière se fait violer depuis plusieurs jours par un démon invisible et Miko l’a surprise dans une position gênante. Aussi, Maki lui demande de vérifier son entrejambe pour voir si tout est normal. Miko ne remarque rien de spécial si ce n’est un clitoris un peu gonflé, ce qui rassure sa camarade. C’est alors qu’elles aperçoivent le professeur d’histoire et se mettent à le suivre. Elles vont apprendre avec horreur que c’est l’homme qui viole Maki grâce aux pouvoirs que lui a donnés un mononoke. Etant en réalité une kunoichi, une femme ninja, Miko se fait un devoir de mettre fin à leurs agissements...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Surnommé à juste titre « le maître des tentacules », Toshio Maeda nous régale avec cette réédition de La blue girl. C’est tout simplement l’histoire d’une demoiselle ninja qui se bat contre des monstres violeurs et, à ses heures perdues, se tripote pour le plaisir. Bien qu’on pourrait craindre que tout cela soit graveleux, ce n’est en fait pas le cas. Déjà, les jeunes femmes sont plus surprises que violées car elles éprouvent du plaisir et en redemandent. De plus, les scènes coquines n’appuient pas sur la laideur des monstres, mais sur la beauté de ces femmes. Le scénario est certes très léger, mais propice à énormément de situations sexy. Les dessins, débordant de réalisme et de tentacules, sont de toute beauté et ne déçoivent pas un instant. On apprécie de (re)voir La blue girl parmi nous !