L'histoire :
Le corps sans vie de Yûichi est dans un état épouvantable. Amano ne se laisse pas attendrir pour si peu. Au contraire, il enlève la tête de son corps et enfile celle de Yûichi. Grâce à ce tour de magie, Amano compte se fondre parmi les ennemis et en apprendre plus sur leurs desseins. Plus tard, lorsque Nagumo et le faux Yûichi se présentent à la faculté, tout le monde est surpris de les voir bien s’entendre. Et ce n’est pas tout car « Yûichi » annonce qu’il dissout son groupe. Le soir, Amano se rend donc au domicile de son rival. Il ne s’attend pas à voir un père zombie et apprendre que la mère est morte. Et ce n’est que le début des ennuis...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Nous voici dans la dernière ligne droite de l’histoire. Les ennemis se font plus nombreux, mais les révélations aussi. Ainsi, on apprend quel est le rôle d’Akemi dans tout cela, qui est réellement Nagumo et d’autres surprises viennent également compléter tout cela. L’univers imaginé par l’auteur est particulier, développe des idées intéressantes et c’est toujours une réussite graphique tant par le réalisme général que via les scènes de sexe qui sont aussi variées que spectaculaires. En revanche, la conclusion de tout cela ressemble plus à une fin de cycle qu’à un dénouement ultime, car il reste encore des choses à élucider. On aurait aimé en avoir plus car le scénario s’arrête sur une note un peu trop brutale. Malgré cela, Urotsukidoji reste un titre iconique, à essayer.