L'histoire :
Lorsque Dokgo Miho arrive dans le jardin, elle voit ses camarades de la classe poubelle se faire ennuyer par d’autres garçons. Dang Daeryong la reconnaît et s’apprête à crier qu’elle l’a déshabillé. Pour éviter qu’il ne raconte n’importe quoi, la demoiselle fonce donc sur lui et lui met un coup de pied dans la tête qui le projette au sol. Dans le feu de l’action, Dokgo Miho ne voit pas qu’elle a fait tomber son médaillon qui atterrit juste devant les yeux de Dang Daeryong. Celui-ci reconnaît immédiatement l’objet et se demande alors si la demoiselle ne serait pas la personne qu’il recherche. Un peu plus tard, le directeur entend parler du grabuge dans le jardin. Furieux, il ordonne à l’un de ses sbires de faire en sorte que les élèves de la classe poubelle quittent d’eux-mêmes le lycée, et annonce à Dokgo Miho que le festival à venir sera l’occasion de déterminer son futur époux...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La quête de la réincarnation du Dalai Lama est mise entre parenthèses pour mieux se concentrer sur les problèmes du lycée. D’un côté, on suit les garçons de la classe poubelle qui sont victimes de brimades et vont faire l’objet d’un complot et, de l’autre, les demoiselles décident de se défendre contre d’éventuels voleurs de culottes. En ce qui concerne les garçons, ceci est l’occasion d’avoir de l’action très amusante tant il arrive n’importe quoi aux jeunes gens, la stupidité de ces derniers accentuant l’efficacité des gags. Le réalisme n’est absolument pas de mise mais le délire est plutôt bien mis en scène et on passe un bon moment à faire travailler nos zygomatiques. Pour ce qui est des demoiselles, l’auteur s’en donne à cœur joie pour nous les présenter en train de se purifier par le bain : très peu vêtues, elles nous font profiter de leurs charmes sans complexe. Là encore, il n’y a rien de sérieux et il est clair que ces scènes sont juste là pour le plaisir mais les amateurs apprécieront de pouvoir se rincer l’œil. Mêlant efficacement action humoriste et plaisir des yeux, ce second opus ne déçoit donc pas et confirme la bonne impression laissée par son prédécesseur.