L'histoire :
Dans la partie paradis de l’arène de combat, Beauty est à deux doigts de réveiller Rem, l’ex-commandant du bloc D. Heureusement, ou pas, un allié arrive en renfort pour se battre à ses côté : Exhib-man ! Ce dernier, par son entrée bruyante, finit de réveiller Rem et celle-ci entame alors un combat basé sur son art ancestral du sommeil profond. Contrairement à ce qu’on pourrait penser de prime abord, Exhib-man arrive à lui tenir tête, mais Rem a plus d’un tour dans son sac... Du côté monde réel, Bobobo s’imagine venir à la rescousse de Beauty, mais le souci est qu’il ne fait que l’imaginer car sa tentative de détruire le mur qui les sépare échoue lamentablement ! De toute façon, il doit maintenant affronter un nouvel ennemi. Après avoir envoyé Don-Patchi dans la partie enfer, Bobobo et Riz font donc face à leur adversaire : tandis que Riz fait diversion, Bobobo réussit à sortir de la zone pour enfin rejoindre Beauty via les conduits d’acheminement des pièces de monnaie. Quant à Gelée, il vient de terminer le montage de sa figurine de Dengakuman lorsque Don-Patchi le pêche et le ramène dans l’arène des enfers pour qu’il l’épaule contre son nouvel ennemi...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les combats continuent dans la machine à sous mais se montrent cette fois-ci rapidement plus intéressants que dans les tomes précédents. Bobobo et compagnie en viennent en effet à combattre Lambada, un adversaire qui utilise l’art ancestral du polygone, ce qui donne au final plein d’attaques assez originales (les héros sont tour à tour polygonisés, pixélisés, et passent même un instant dans le jeu vidéo - officiel - de Bobobo) et des retournements de situations insensés, comme d’habitude, ainsi que des parodies (la plus facile à identifier est cette fois Hokuto no Ken). Après cela, le groupe combat le fameux Hanpen, l’un des hommes les plus forts de l’empire après l’empereur et, là encore, le combat est bien drôle. Avec en plus des planches et des délires graphiques plus soignés qu’à l’accoutumée, Yoshio Sawai fait de ce quatorzième opus une réussite qui amusera les amateurs de la série comme jamais depuis au moins le volume 10.
