L'histoire :
A l'hôpital, Gôki Tengé rend son dernier souffle. Si les femmes de la famille semblent assez tristes, le fils aîné ne manifeste qu'un seul souhait : ouvrir le testament ! Sa mère lui explique que la lecture se fera après les funérailles et le charge donc d'organiser au plus vite la cérémonie. Une fois l'homme parti, Nanako essaye d'avouer son crime, mais sa mère insiste sur le fait qu'elle a été témoin d'un banal accident domestique. Lorsque le testament est enfin lu, tout le monde est surpris d'apprendre que la majorité de l'héritage revient à Ayako. Cette dernière n'étant pas là, elle ignore que plusieurs membres de la famille vont la poursuivre...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Cette réinterprétation d'Ayako se termine ici. Le chef de famille étant mort, la demoiselle pourra-t-elle enfin mener une vie normale ? Le meurtre qui a valu son enfermement sera-t-il dévoilé ? Voilà en gros les deux questions auxquelles il faut répondre ici. Le scénario remplit son contrat et ne laisse rien de côté, la tension est là et les surprises aussi. En revanche, les personnages sont trop caricaturaux, et les plans racoleurs sont trop appuyés au détriment de l'intrigue. C'est fort dommage car le scénario a pourtant largement de quoi divertir, mais les graphismes - bien que soignés - viennent le discréditer. Une conclusion moyennement efficace.