L'histoire :
Tomohiro décide de se venger du créateur de Dead Tube Neo en les impliquant dans un film dont il aura écrit le scénario. Eno s'inquiète un peu et lui demande ce qu'il compte faire de Tsubasa. Tomohiro n'entre pas dans les détails, il affirme simplement qu'il fera de la demoiselle sa première cible sans pour autant aller jusqu'à la tuer. Il déconseille d'ailleurs à Eno de visionner le résultat. Un peu plus tard, Eno ne peut s'empêcher de regarder le film de Tomohiro. Elle découvre alors une vidéo qui est un plagiat du viol de Moe avec Tsubasa en victime. La guerre est donc officiellement déclarée aux évangélistes du bonheur...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Tomohiro et ses amis comptent bien passer à l’action et se venger de Dead Tube Neo. Et, pour déclarer la guerre, quoi de mieux qu’un bon plagiat ? Voilà comment débute ce 17e tome qui n’a que peu de choses à raconter. Ainsi, on a le droit à une remémoration des évènements passés, tortures et viols compris, histoire de bien avoir cela en tête. Malheureusement, c’est assez longuet, il n’y a pas de révélations au programme et c’est en fait une simple compilation de moments racoleurs et écœurants qui est faite. Dans la dernière partie, il y a déjà un peu plus de tension car les protagonistes principaux sont tous réunis dans un nouveau jeu cruel. Hélas, non seulement cela manque de crédibilité, mais en plus les surprises ne fonctionnent pas et il y a beaucoup de parlotte pour peu d’action. Ecore un navet.