L'histoire :
Alors que Takagi dort profondément, Haruki reçoit un appel de sa camarade Tatsuki. Cette dernière est dans le camp de réfugiés et, d’après les personnes en fond sonore, la demoiselle est menacée. Kirara prend aussi part à la conversation et est tout aussi catastrophée que Haruki car sa sœur ainée se trouve aussi sur place. Aussi, le groupe de jeunes gens décide de réveiller Takagi et de se rendre sur place pour voir de quoi il s’agit. C’est Kirara qui prend le volant et conduit sans hésiter à renverser les monstres qu’elle trouve sur le trajet. Après un parcours mouvementé, le groupe arrive auprès des réfugiés. Là, on leur indique que les deux jeunes filles qu’ils cherchent sont mortes et on leur montre une pièce remplie de sang. Cependant, il devient rapidement évident que les réfugiés mentent et cachent des choses...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
A la lecture de ce tome, on se pose une question tout du long : le mangaka sait-il où il va ? Le scénario est à la limite de la cohérence et part dans des méandres absurdes. On accepte que les réfugiés mentent sur le sort de Satsuki et la sœur de Kirara, mais on a du mal à comprendre le reste: des gens sont tués sur place tandis que d'autres sont déplacés puis tués sur le trajet... C’est la confusion la plus totale, cela n’a pas de sens ni d'intérêt. La deuxième partie est quant à elle déjà un peu mieux car Haruki reçoit une déclaration enflammée et couche avec la demoiselle. Autant cela fait avancer leur relation qui devient nettement plus claire, autant on reste dubitatif sur les conditions dont cela se fait. On est au final circonspect par ce tome dont le point le plus intéressant est une scène coquine.