L'histoire :
Après sa quatrième audience auprès du procureur, Yûki est ramené à la maison d'arrêt. Il constate alors qu'il y a beaucoup de cellules vides. Le gardien lui explique que les prisonniers déménagent les uns après les autres dans les nouveaux quartiers. Après 127 jours passés dans la même pièce, Yûki n'a pas vraiment envie de bouger, mais il n'a pas le choix. La découverte de sa nouvelle cellule n'est finalement pas si gênante que cela, il s'acclimate vite. En revanche, il est surpris quand le procureur lui rend visite au parloir après la première audience du procès...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Jusqu'au bout, Yûki reste fidèle à ses convictions et témoigne comme il peut de certains agissements de politiciens. Si ce n'est pas dénué d'intérêt, loin de là, il faut bien admettre que certains sujets sortent de nulle part. De plus, on n'assiste quasiment pas au procès avant la fin du volume, alors que cela aurait pu apporter un second souffle et du suspense à l'ensemble. Quant au verdict et à la réaction de Yûki, là aussi cela n'est pas complètement satisfaisant car la fin est un peu trop ouverte. Une conclusion qui laisse sur sa faim.