L'histoire :
Au salon de coiffure, Atsu est stupéfaite d’apprendre que la mère d’Osawa a démissionné pour aller aider Papi Taura aux champs. Cependant, la jeune fille est encore plus surprise de recevoir un colis, d’autant plus que c’est Ibuki qui lui a fait parvenir des bonbons et des gâteaux. Atsu appelle alors son amie au téléphone et cette dernière lui explique que le magasin de ses parents fait désormais des livraisons express. De son côté, Soyo est allée aider son père aux champs en compagnie de Kôtarô. La demoiselle n’apprécie pas de voir la mère d’Osawa tourner autour de son père et ne se prive pas de faire des commentaires à son frère. Dans la journée, Osawa arrive aux champs pour apporter un paquet de cigarettes à sa mère. Soyo en profite pour faire part au garçon de ce qu’elle pense de cette dernière. Osawa va donc essayer de faire comprendre à sa mère qu’elle n’a rien à faire aux champs mais celle-ci n’est pas du genre à se laisser faire...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La série n’a jamais été vraiment passionnante mais le récit savait tout de même se maintenir à un niveau moyen. Malheureusement, il ne se passe cette fois absolument rien d’intéressant et l’histoire tourne en rond. Soyo continue de ne pas aimer voir la mère d’Osawa rôder près de son père et se demande si son petit ami n’aurait pas des vues sur une autre, mais rien n’avance vraiment de ce côté-là et cette routine est ennuyeuse. En fait, à part Ibuki qui fait des cadeaux à ses amis le temps d’un chapitre, aucun évènement ne marque les esprits, les fêtes au village manquant cruellement de saveur tout comme les autres aspects de la vie des habitants. Du coup, ce huitième volume ne présente aucun intérêt et les longueurs se font beaucoup trop ressentir, ce qui provoque encore plus d’ennui que lors de la lecture de ses prédécesseurs. En clair, un dixième volet complètement inutile.