L'histoire :
Victime d’un malaise, Soyo est alitée et Osawa reste auprès d’elle. Celle-ci n’est cependant pas si mal car elle propose à son petit ami de passer à l’acte. Le jeune homme hésite à cause du malaise mais ne se fait pas prier quand il s’agit d’aller sous la couette pour serrer la demoiselle dans ses bras. Soyo en profite pour apprécier l’odeur du garçon qui l’embrasse avant de s’allonger sur elle. C’est alors que la porte de la pièce commence à s’ouvrir. Osawa n’a pas le temps de complètement sortir du lit quand le père de Soyo arrive dans la chambre. Celui-ci fait une tête contrariée mais ne gronde pas les deux jeunes gens pour autant. Soyo en est la première surprise. Ce qu’elle ignore, c’est que la mère d’Osawa déménage à Tokyo et que son fils a de fortes chances de la rejoindre...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Soyo n’a pas fini d’en baver dans ce dernier volet. En effet, la demoiselle décide de faire l’amour avec Osawa (tentative qui est hélas interrompue par le père de la jeune fille), juste avant que ce dernier ne parte inopinément pour Tokyo et par la suite ne donne pas beaucoup de nouvelles, Soyo devant alors se trouver d’autres occupations. A l’instar du volume précédent, les personnages ne se parlent pas et ne développent pas vraiment leurs sentiments. De fait, les changements d’humeur de Soyo la rendent complètement incompréhensible, on ne saisit pas ce qu’elle veut, et on suit son parcours de manière détachée. De même, la relation entre Usami et Tanaka n’est guère plus détaillée et, là aussi, on a du mal à suivre le comportement des personnages. Du coup, ce dernier volume ne semble pas conclure grand-chose et les quelques rebondissements qui ont lieu ne parviennent pas à nous tenir en haleine. Bref, jusqu’au bout la série n’aura donc pas su convaincre.