L'histoire :
Cela fait désormais un mois que Chi vit paisiblement avec sa famille humaine. Chi adore faire des siestes, s’amuser et manger. Seulement, la vie n’est pas toujours rigolote car personne ne veut prêter ses jouets : Maman fait la vaisselle seule dans son coin, Papa n’apprécie pas qu’on lui donne un coup de patte à l’ordinateur et Yohei s’énerve car il ne trouve plus l’une de ses balles. Un peu plus tard, lorsque Chi retrouve Noiraud et lui raconte ses déboires, le gros chat noir essaye de lui faire comprendre qu’elle doit faire attention à son comportement car les humains ne sont pas des chats. Ce n’est pas très efficace et Chi, toujours mécontente, n’a pas du tout envie de rentrer à la maison... jusqu’à ce qu’elle réalise que c’est l’heure du dîner ! Décidemment, Noiraud a encore du travail pour l’apprentissage de la petite...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Chi est déjà venue nous enchanter dans de multiples formats mais c’est apparemment loin d’être fini ! Dans cette version manga, intitulée « Chi mon chaton », c’est le quotidien de la petite chatte avec sa famille humaine qui nous est contée. Cela se déroule en parallèle de l’histoire de départ : on ne repasse pas par son adoption par la famille ni par les retrouvailles avec sa vraie mère. Non, c’est avant tout ses bêtises et ses moments de bonheur que l’on peut voir. C’est assez cucul, on vous l’accorde, mais c’est amusant à souhait : les situations (au rythme d’un épisode par page) sont plutôt réalistes, les gags sont d’autant plus percutant et l’ambiance générale est bienveillante. Aux dessins, Konami Kanata laisse le soin à Natsume Kinoko de donner vie à Chi. Le changement de mangaka ne dérange pas et, hormis une présentation sous forme de comic strips un peu rigide, on n’a rien à reprocher à ce titre. Les personnages ont des bouilles d’une expressivité folle, les décors sont bien représentés et les couleurs donnent encore plus de peps. On est donc ravi de revoir Chi !