L'histoire :
Gohan et Krilin ont laissé Goku seul face à Vegeta et se dirigent vers Kamé House lorsqu’ils remarquent que sur les lieux du combat brille une énorme boule de feu en suspension dans le ciel. Il s’agit de celle lancée par Vegeta qui lui permet de se transformer en singe géant. Devant le monstre qu’est devenu son adversaire, Goku croit rêver et a bien du mal à lui tenir tête ! Il décide alors d’utiliser le Genki Dama mais Végéta, non content d’être devenu ainsi dix fois plus fort qu’avant, ne lui laisse pas une seconde de répit et même le Kaïoken de Goku ne lui permet pas de faire face. Goku voit bien qu’il lui faudra du temps pour préparer son attaque et utilise alors la technique de Ten Shin Han : le Taiyoken. Végéta est alors aveuglé et Goku s’éloigne pour rassembler l’énergie nécessaire au Genki Dama… De leur côté, Gohan et Krilin ont senti l’énergie de Végéta augmenter en flèche et le garçon prend la décision de retourner d’où ils viennent malgré l’avis contraire de Krilin…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce cinquième tome nous amène la fin de la première partie sur les saïyens et donc la fin du combat contre Végéta. Après moult rebondissements, c’est en unissant leurs forces que Son Goku et ses amis arrivent à tenir tête à l’extraterrestre, chacun des protagonistes (même Yajirobe, et oui !) participant tour à tour à l’affrontement. Si ce combat ne manque pas de tension, il manque tout de même un peu de mordant, de dynamisme. Mais, au final, le divertissement est là et c’est principalement ce qui compte. Comme pour les précédents tomes, la qualité visuelle est relativement bonne même si on regrette une mise en page assez mal optimisée, ce qui est souvent le cas dans les anime comics. Au-delà de ça, la plupart des images est nette, ce qui est une performance vu de quelle année datent les celluloïds originaux. Gros défaut de l’adaptation, on regrette tout de même ces polices de caractères et leur mise en place : non seulement elles ne sont pas toujours bien choisies, mais en plus leur taille et le remplissage des phylactères laissent souvent à désirer. Pas de mystère : cette édition est lisible, comme toujours, mais on lui préfère tout de même la version originale. Bien qu’en noir et blanc, cette dernière possède un meilleur aspect visuel car les dessins originaux sont destinés au format manga, alors que les images de cette édition couleur, prévues pour la TV, ne prennent pas en compte le besoin de dynamisme inhérent au papier (découpage, mise en page…).