L'histoire de la série :
Sena est un jeune lycéen plutôt chétif qui sert de larbin à ceux qui le briment. A force de faire des courses pour eux, il est devenu très rapide. C’est grâce à cette qualité qu’il va se faire remarquer par l’équipe de foot américain et l’intégrer un peu malgré lui.
L'histoire :
Une jeune journaliste en herbe organise une enquête intitulée « huit interviews, une lycéenne » dont le concept est assez simple : la demoiselle doit poser les mêmes questions à huit joueurs du tournoi du Kantô pour mettre leurs réponses en parallèle dans le magazine. La jeune fille a donc donné rendez-vous à Hiruma et Agon pour mener leurs interviews en même temps car les deux garçons ont fait équipe ensemble il y a trois ans. Cependant, ce souvenir semble réveiller une certaine animosité entre les deux lycéens et la tension est à son comble. Au même moment, Manabu et l’entraîneur discutent dans le local du club : le jeune homme va enfin pouvoir participer à un match car il représente en fait un incroyable atout. Sena et Montâ, qui passaient à côté, entendent la nouvelle et se mettent alors à écouter la conversation pour découvrir le secret de Manabu. Malheureusement pour eux, Hiruma est revenu de son interview et les asperge de sauce avant de lâcher Cerberus sur eux…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce volume de transition reprend la même formule que les autres : après une présentation des joueurs de l’équipe adverses et leurs éventuels liens avec ceux de Deimon, le match commence et la première mi-temps se passe très mal pour les Devil Bats, Hiruma gardant son plan de secours pour la fin. Rien de très original donc, même si Hiruma semble vraiment inquiet quant à l’issue du match. Heureusement, les notes d’humour sont toujours présentes et l’action est très rythmée, ce qui permet au scénario de ne pas s’enliser. De plus, les graphismes sont toujours de bonne qualité et, sur quelques pages, on observe même un effort d’originalité sur le découpage. La mise en scène est dynamique, et les décors sont nombreux, fournis et un peu plus variés qu’à l’accoutumée. Quant aux personnages, ceux-ci sont toujours aussi expressifs et certains débordent même de charisme. On regrette cependant que ce tome ne possède aucune page en couleurs, contrairement à son prédécesseur. En résumé, la formule commence un peu à lasser mais on espère que l’auteur saura nous surprendre dans le prochain volume.