L'histoire :
- Mei, une jeune fille en CM1, aime rester seule et ne veut pas se faire d’amis. D’ailleurs, elle a mal au ventre à l’idée d’aller à l’école et se retrouver au milieu de ses camarades. Pour les vacances d’été, les parents de Mei l’envoient à la campagne, chez la tante Kaoru. Mei doit attendre sa tante une heure à un arrêt de bus et une chienne en profite pour venir lui tenir compagnie. A ce moment, Mei ne sait pas encore à quel point elle va s’attacher à l’animal...
- La famille de Ruri doit déménager à Tokyo à cause du travail du père de la jeune fille. Cette dernière n’a pas envie d’aller à la capitale car, là-bas, elle devra se séparer de son chien Lucky. En effet, les animaux ne sont pas acceptés dans l’immeuble où compte habiter la famille. Ruri a pu négocier avec ses parents pour passer trois jours avec Lucky avant de l’envoyer chez Kaoru. Hélas, ces trois jours ne vont pas se dérouler comme prévu...
- Il y a un an, la chienne d’Eimi est morte. Aujourd’hui, sa mère lui apporte un nouveau petit chiot mais Eimi n’en veut pas : elle trouve cela injuste par rapport à la défunte chienne et craint d’être une mauvais maîtresse. Il faut dire que le départ de l’ancienne chienne ne s’est pas bien passé et qu’Eimi s’en veut beaucoup...
- ...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Comme dans le premier volume, on découvre ici des histoires d’amour entre des jeunes filles et leur chien (n’y voyez rien de déplacé !). Si les demoiselles ont chacune une façon d’être et de voir les choses, toutes s’attachent à un chien (ou une chienne) qui leur donne beaucoup d’affection, du soutien moral et de l’aide pour aller de l’avant. On voit bien que s’occuper d’un animal de compagnie ne se résume pas uniquement à avoir une boule de poils toute mignonne : il y a un véritable lien qui se crée, des responsabilités qui en découlent et l’amour s’installe bien vite. Malheureusement, tous les chiens sont voués à mourir à un moment ou à un autre : les séparations sont douloureuses, émouvantes et larmoyantes : non, les boîtes de mouchoirs ne peuvent plus être encore pleines à la fin de la lecture ! Le titre reste donc bouleversant mais également empli de tendresse.