L'histoire :
Ichimatsu s’est toujours vanté d’être une racaille jamais en retard mais son absence en cours aujourd’hui semble sonner la fin de son record. Seule Yumi ne le croit pas capable de sécher et le cherche partout dans le lycée. En fait, le jeune homme est à l’infirmerie où il souffre le martyr à cause de l’utilisation de son pouvoir la veille. Tongari est déjà surpris qu’il ait eu la force de marcher jusqu’au lycée mais préfère ne rien lui dire. Ne supportant plus la douleur, il ouvre le rideau qui l’isolait pour demander un médicament à l’infirmière mais, à la place, il trouve une de ses camarades dont il ne se rappelait pas l’existence, Momoko, qui lui laisse une lettre de défi. Un peu plus tard, Ichimatsu se rend au rendez-vous de la lettre où une brute l’attendait pour le tabasser. Observant la scène du toit du lycée, Momoko se dit alors qu’Ichimatsu est vraiment faible. Après cela, la demoiselle rassemble Ichimatsu, Koume et Takezou pour leur annoncer qu’elle est la demoiselle placée sous la constellation des gémeaux, qu’elle les trouve trop faibles et qu’elle ne compte donc pas sur eux pour la protéger. Ichimatsu se met alors à genoux et la supplie de les entraîner...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Dans ce cinquième volume, on découvre une nouvelle jeune fille du zodiaque avant qu’Ichimatsu, Koume et Takezou ne partent s’entrainer. Dans les deux car, il y a de l’action mais on a encore du mal à trouver l’ensemble palpitant. En ce qui concerne la nouvelle venue, son introduction est assez ridicule : personne n’avait remarqué qu’elle faisait partie de la classe depuis des mois car la demoiselle peut effacer son aura... Néanmoins, on apprécie de voir que la jeune fille n’est pas aussi nunuche que les autres puisqu’elle sait se battre. Quant à l’entraînement des personnages, Ichimatsu et ses deux comparses apprennent à se renforcer aussi bien physiquement que mentalement et, pour l’instant, seul Koume est en mesure de nous monter le résultat. Là encore, la mise en place est assez douteuse et les transitions sont souvent mal gérées. Du coup, même si ce n’est pas inintéressant, le scénario a du mal à être enthousiasmant et on commence à craindre que le titre ne s’envole finalement jamais.