L'histoire :
C'est à bord de son somptueux et gigantesque bateau de croisière que Haru salue tous les employés de la GOP. Le jeune homme n'est pas à l'aise avec cet exercice, d'autant qu'il a l'impression de perdre son temps. Heureusement, Mizuki est là pour le soutenir. Elle lui rappelle l'importance de la GOP sans laquelle Trillion Game aurait fait faillite. Gaku repense alors à tout cela, notamment l'idée de génie de Haru d'intégrer le monde du showbiz dans leur jeu vidéo...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Mais comment le Trillion Game, au bord de la faillite, rebondit pour rendre son jeu vidéo populaire ? Eh bien en y mêlant de façon outrancière le monde du showbiz ! Tout au long de ce volume, on suit Haru dont la capacité de manipuler les gens franchit un cap, et on voit comment Gaku gère la partie informatique. C'est une grande leçon d'efficacité qui nous est donnée, avec bien sûr un sens de la démesure qui colle bien aux personnages. Très moderne et fluide, le récit se montre très lisible et la vigueur du rythme permet de rendre digeste les exagérations. L'ensemble est donc plutôt satisfaisant, espérons que la suite poursuivra sur cette lancée.