L'histoire :
Maria retrouve Tomoyo et Meguro dans la classe et décide de commencer les répétitions sans Kanda. Celui-ci, qui n’a que quelques secondes de retard, est un peu vexé mais ne se formalise pas. A la place, il annonce que les garçons ont changé d’avis pour une raison inconnue et qu’ils acceptent donc de venir participer : ils sont d’ailleurs en train d’attendre devant la salle de musique. Maria a bien compris que Kanda a plaidé sa cause et va alors voir le professeur pour lui demander la clé de la salle où se trouve le piano. Hélas, ce dernier refuse de l’aider et Maria se voit obligée d’annoncer la mauvaise nouvelle à ses camarades. Heureusement, des filles du club de musique orchestrale les rejoignent à ce moment et proposent d’utiliser leur orgue. Tout semble s’arranger mais, au même moment, une élève va voir le professeur. Il s’agit de Hana, qui était à l’hôpital depuis deux semaines et qui vient annoncer son retour en cours le lendemain. La demoiselle aperçoit alors le pendentif que le professeur a confisqué à Maria et ce dernier le lui donne en lui conseillant de le porter en classe...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le coup de l’arrivée d’une nouvelle élève qui va vite être en conflit avec Maria n’est pas un événement très original puisque Tomoyo avait déjà joué ce rôle. Certes, Hana (la jeune fille en question) ne va pas être très franche et va faire quelques coups bas pour monter les gens contre Maria, mais il y a tout de même des choses surprenantes. En effet, les motivations de Hana ne sont pas exactement celles que l’on peut croire et la demoiselle fait tout de même des efforts pour unir les gens, sans oublier qu’elle dégage tout de même une certaine sympathie. De plus, la préparation de la chorale prend également une nouvelle tournure et, à la fin du volume, on brûle d’envie de voir comment tout va se dérouler. Quant à Maria, celle-ci évolue un peu et se rend compte qu’elle apprécie certaines personnes tout en réalisant qu’elle a envie d’avoir des amis. Tout cela est donc très divertissant et agréable, et la finesse du trait alliée au soin des graphismes ne fait qu’ajouter au charme de l’ensemble. La mélodie continue donc de nous emporter : vivement le prochain couplet !