L'histoire :
Maintenant le seul Vandel encore vivant sur la plage, Balleus, est obligé d’affronter directement Beet. Il sort alors directement de son corps une pléthore d’armes blanches et les lance sur le garçon qui les évite sans problème en les détruisant. Balleus décide alors de sortir son arme spéciale, une épée de plusieurs mètres, mais Beet la brise en morceaux avant même qu’il ait eu le temps de s’en servir. Soudain, quelques-uns des subalternes de Balleus rappliquent et l’aident à se sauver par la voie des airs. Mais le garçon utilise son Saïga le plus puissant pour couper tout ce petit monde en deux à distance. Les monstres maintenant disparus, Guntry accepte avec joie de conduire le groupe de héros dans son hydravion jusqu’à la ville de Bekatrute, sans plus réclamer de Poala qu’elle le paye en nature. Milfa arrive à son tour sur la plage et constate qu’une bataille a eu lieu, mais est ravie d’apprendre que Guntry a finalement décidé de renoncer pour le moment à sa séance de pelotage et de les emmener par delà la mer. Durant le voyage, le vieil homme apprend à Beet que de nombreux Vandels sillonnent la mer et la région de Bekatrute, et qu’il est maintenant extrêmement dangereux d’y voyager. Le garçon fait alors la promesse de débarrasser les environs de tous ces monstres et, lorsqu’ils croisent le chemin de l’un d’eux, Beet saute immédiatement de l’avion pour aller l’affronter…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après un petit moment de répit et des combats un peu faciles pour le groupe des Beet Warriors, l’auteur nous emmène dans de nouveaux lieux, à la rencontre de nouveaux monstres. Les paysages varient ainsi un peu et c’est l’occasion pour nous de voir quelques monstres marins avant l’arrivée des héros dans une nouvelle ville dévastée par les attaques de Vandels. Mais, à peine sont-ils arrivés que, déjà, l’auteur met en travers de leur chemin un Vandel 7 étoiles en provenance directe… du désert ! Quelques surprises donc, même si l’ensemble reste bien évidemment dans la veine des plus purs shônens, c'est-à-dire facilement prévisible. Côté dessin, le trait est constant et précis, le découpage est très classique mais efficace, et le tramage est assez peu présent, ce qui donne des cases parfois un peu vides. Mais cela contribue à ne pas alourdir les planches et permet une lecture très rapide, qui colle parfaitement à l’idée qu’on peut se faire d’un manga 100% action. Au final, un bon tome qui sert surtout à mettre en place l’environnement pour la prochaine phase. Rendez-vous dans le prochain tome donc !