L'histoire de la série :
Light Yagami, ramasse un jour un carnet sur le sol de la cour de son lycée. Il s’avère qu’il s’agit du Death Note, le carnet de la mort, appartenant à Ryûk, un Dieu de la Mort, qui l’a laissé tomber volontairement dans le monde des humains afin de se divertir. Notre lycéen a beau être un excellent élève, il décide de tester le carnet en y inscrivant un nom, et voit alors la personne mourir. Dès lors, celui-ci souhaite mettre en place sa société idéale où les criminels seraient châtiés par la décision d’un seul être, lui-même. Mais après plusieurs dizaines de tueurs, violeurs et autres criminels décédés, certains au sein même de leur cellule, les autorités policières du monde entier interviennent et essaient de débusquer celui que les médias appellent Kira. Sans résultat, elles décident de faire appel à L, un mystérieux enquêteur dont aucun coupable n’a jamais réussi à se cacher. Commence alors un chassé croisé entre L et Kira alias Light.
L'histoire :
Dans la cour de son lycée, Light Yagami, jeune lycéen surdoué, découvre un carnet qui, dès lors que l’on y inscrit le nom d’une personne, la fait mourir. Ce livre appartient au Dieu de la mort, Ryûk, qui décide d’observer l’heureux possesseur. Les morts inexpliquées se multiplient, pour la plupart des assassins. Interpol se décide à engager le célèbre détective L., dont personne ne connaît le visage. Celui-ci découvre en très peu de temps que le tueur se trouve au Japon et à accès aux informations de la police. En effet, Light est le fils du directeur, et il espère à travers ses choix rendre la justice. Les provocations se multiplient entre les deux « justiciers ». L. met le FBI sur l’affaire et fait suivre chaque famille de policiers. C’est ainsi que Light se rend compte qu’un agent le suit à distance. Mais pour s’en débarrasser, il a besoin de connaître le nom et le visage de la personne. C’est pourquoi, il décide d’utiliser un criminel qu’il avait laissé en vie, pour monter un stratagème, qui sera bien évidemment écrit à l’avance dans son Death Note…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Cette série japonaise est une des dernières à avoir provoqué un tel engouement mondial : adaptation animée, film live, jeux vidéos, etc. Les dérives font également parties de son succès… ainsi certaines personnes auraient aussi leur Death Note, dont les résultats sont heureusement absents. Ce succès s’avère logique vue la qualité de ce nouvel opus. En effet, le style graphique de Takeshi Obata (Hikaru No Go) est fin et fourmille de détails. Ses personnages sont charismatiques et leurs proportions (bras, taille…) sont réussies. Scénariste, Tsugumi Ohba (l’identité de celui ou celle-ci reste un grand mystère) anime de nombreux rebondissements et met en place une tension palpable et des personnages complexes (L. et Light) et mystérieux (Ryûk). Tous ces éléments parviennent à une narration où la manipulation est perpétuelle, et le fait de voir Light tout faire pour découvrir l’identité de ses victimes, en fait un être malsain. Ce second volume s’enrichit d’une réflexion riche qui permet à Death Note de devenir une nouvelle référence…