L'histoire de la série :
Light Yagami, ramasse un jour un carnet sur le sol de la cour de son lycée. Il s’avère qu’il s’agit du Death Note, le carnet de la mort, appartenant à Ryûk, un Dieu de la Mort, qui l’a laissé tomber volontairement dans le monde des humains afin de se divertir. Notre lycéen a beau être un excellent élève, il décide de tester le carnet en y inscrivant un nom, et voit alors la personne mourir. Dès lors, celui-ci souhaite mettre en place sa société idéale où les criminels seraient châtiés par la décision d’un seul être, lui-même. Mais après plusieurs dizaines de tueurs, violeurs et autres criminels décédés, certains au sein même de leur cellule, les autorités policières du monde entier interviennent et essaient de débusquer celui que les médias appellent Kira. Sans résultat, elles décident de faire appel à L, un mystérieux enquêteur dont aucun coupable n’a jamais réussi à se cacher. Commence alors un chassé croisé entre L et Kira alias Light.
L'histoire :
- Il semblerait que Kira ait ressuscité et, cette fois, il s’en prend aux personnes âgées de plus de 65 ans qui souffrent de maladie. La rumeur enfle d’abord sur internet, mais bien vite ceux qui ont enquêté sur Kira se soucient de l’affaire...
- Ryûk a trouvé un humain intéressant qui a le potentiel pour être un bon utilisateur du Death note. Comment le jeune homme va-t-il réagir face à la proposition du démon ?
- Si L se démarque par son intelligence hors norme, mais il n’y pas que cela : son «horloge biologique » et ses habitudes sont également très singulières...
- ...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
On croyait avoir dit au revoir à Ryûk, L, Light et compagnie depuis un moment, mais voilà que sort ce recueil d’histoires courtes. En dehors d’un chapitre qui est une compilation de gags (pas si drôles que cela) en 4 cases, les épisodes nous livrent des histoires inédites se situant avant, pendant et après l’intrigue principale. Le principe du Death note est à chaque fois exploité de manière différente car les personnages ont tous une façon différente de s’en servir. Les idées ne sont pas mauvaises, mais elles n’apportent pas grand-chose comme complément et manquent un peu trop de délicatesse pour convaincre. Graphiquement, on retrouve en revanche la qualité du début, ce qui est d’autant plus appréciable qu’un souffle de dynamisme a été apporté à l’ensemble. Au final, ce recueil n’est pas indispensable, mais devrait tout de même trouver son public auprès des fans les plus fervents de la série.